A la lecture de l’article « BAD à Marrakech: l’encombrante tente caidale de Richard Attias », la Société Richard Attias & Associates vous demande de bien vouloir rectifier les informations totalement erronées et non vérifiées qui ont malencontreusement été publiées.
La parution de cet article nous a semblé en effet très surprenante pour un site d’information financier qui se veut précis et sérieux. Ainsi nous ne pouvons laisser les lecteurs de Financial Afrik désinformés.
La Société Richard Attias & Associates est fière et honorée d’avoir été retenue par la BAD dans le cadre d’un appel d’offres international pour produire un certain nombre d’évènements relatifs aux Assemblées Générales de la BAD à Marrakech. Le niveau, le nombre de participants, de sessions parallèles et l’ambition de ces assemblées exigent que les séances plénières se tiennent sous une structure louée au Maroc. C’est le cas également pour un grand nombre d’équipements utilisés maintes fois pour des évènements nationaux telles que des Assises et sur lesquelles personne ne s’étonne qu’elles doivent se tenir sous structure. D’ailleurs lorsque l’on est marocain, on sait que les magnifiques tentes caidales que ce pays produit, ne peuvent abriter ce type de manifestations. Elles sont réservées à des évènements festifs.
Enfin chacun doit savoir que le coût de location d’une tente est infinitésimal par rapport au coût global d’un évènement de cette envergure que le Maroc sera fier d’accueillir et dont tous les acteurs doivent travailler à son succès, plutôt que d’entamer des polémiques sans fondement.
Merci pour votre compréhension et l’intérêt que vous accorderez à cette demande de rectificatif.
Arezki Yaiche, Consultant pour la Société Richard Attias & Associates
Réponse de la Rédaction
Nous prenons acte de ces précisions de la société Richard Attias &Associates, tout en portant à l’attention des lecteurs que notre propos n’a jamais été de contester l’attribution du marché en question. quant au débat sur les tentes caidales marocaines (peuvent-elles ou non abriter de telles manifestations), il est posé. Aux professionnels du tourisme de répondre.