Dans la foulée de la réduction de ses investissements à l’international, ramenés de 2,6 à 1,6 milliards de dollars, le groupe singapourien a revu la copie de sa présence au Gabon. Ainsi, la participation de Olam est ramené à moins de 50% dans Gabon Fertilize Company –CFG), société devant mettre en place un complexe de production d’urée à Port Gentil, dans la zone économique spéciale de l’Ile Mandji.
Pour l’heure, Olam n’a pas formellement déclaré vouloir revoir à la baisse ses investissements de 2,2 milliards de dollars au Gabon qu’il devait financer sur fonds propres. La CFG est actuellement contrôlée par Olam (62,9%) avec d’autres partenaires dont Tata (25,1%) et l’Etat gabonais (12%).