Après Djezzy, le gouvernement algérien s’oppose une nouvelle fois à la cession de la filiale algérienne du géant français du pneumatique Michelin au profit du groupe Cevital.
Le gouvernement a évoqué le droit de préemption qui donne la priorité à l’Etat algérien de reprendre une entreprise étrangère qui souhaiterait, pour une raison ou une autre, cesser son activité et quitter le territoire national. Pour prendre une pareille mesure, d’ailleurs inscrite dans les dispositions de la loi de Finances complémentaire de 2009, les autorités du pays veulent en premier lieu, protéger le tissu économique national et surtout empêcher un licenciement pur et simple des travailleurs (ils en sont au nombre de 600 pour le cas… à qui le tour ?