« Le numérique est essentiel dans les pays en développement. Car il impacte de manière globale sur la croissance en développement. Le développement de nos pays dépendra de celui de notre économie numérique ».Tel est le leitmotiv du groupe de recherche et d’étude pour la démocratie et le développement durable en Afrique (GREDDDA).
C’est dans ce contexte qu’une conférence publique a été organisée ce vendredi 6 mars. Cette conférence animée par Madame Valerie Pecresse, Dr honoris Causa de l’université Chiekh Anta Diop de Dakar et député de la république française, avait pour thème « l’université, facteur de croissance et de développement».
La conférencière en a profité pour appeler les acteurs universitaires à la concertation pour l’applicabilité des reformes entamées par le gouvernement sénégalais.
Ce groupe de réflexion qui est GREDDDA se dote de trois missions principales. D’abord faire émerger, partager et valoriser les nouvelles pratiques allant dans le sens de plus de plus de démocratie et d’un développement économique durable en Afrique. Il veut aussi créer un laboratoire d’idées porteuses sur le terrain. En fin, GREDDDA veut aider les décideurs publics à s’orienter vers des stratégies de politique de développement.
GREDDDA créé en septembre 2014, est un think tank dirigé par le docteur Cheikh Kanté.
Ablaye Modou NDIAYE