Le gouvernement mauritanien a pris une série de mesures en vue de favoriser et de protéger la production nationale de riz et répondre aux aspirations des consommateurs, selon le ministre de l’agriculture, Brahim Ould M’Bareck Ould Mohamed Moctar, qui s’exprimait vendredi à Kaédi (430 kilomètres au Sud/Est de Nouakchott), dans le cadre d’une réunion avec les professionnels de la filière.
Ces mesures portent sur les prix consentis aux producteurs, qui vont désormais de 80 à 103 ouguiyas le kilogramme, la fermeture prochaine des frontières nationales aux riz importé et, en attendant, la hausse de la pression des droit de douane sur ce riz importé.
A celà s’ajoute la création prochaine d’un établissement dédiéeà l’assurance agricole dont le capital sera détenu par le public, avec la participation des opérateurs privés.
Au-delà des propos, de nombreux observateurs relèvent une contradiction flagrante dans le discours du responsable gouvernemental mauritanien «qui annonce à la fois la fermeture des frontières nationales au riz importé et une hausse de la pression des taxes douanières sur la même d’entrée».
Un commentaire
il le faut pour la relance de l’agriculteur en l’Afrique, nous avons la capacité technique de produire, transforme pour nourrir nos populations et voir même exporte à l’extérieur dans d’autres continents . Mais nous devrons aussi ouvrir nos frontière en Afrique pour la libre circulation les personnes et leurs biens. Agriculteur qui est base au Maroc ou en l’Afrique du sud dois désormais circulé sans problème pour vendre ses produits transformés à l’intérieur du continent. Un seul politique africain pour la relance de notre agriculture. Je suis un militant et je dis stop aux produits agricoles importés.
Consommons locale.