A Lomé, la compagnie panafricaine Asky (détenue à 40% par Ethiopian Airlines) va démarrer courant avril, ses opérations de hub dans la nouvelle aérogare de l’Aéroport international Gnassingbé Eyadema, aérogare dont les travaux sont en finition.
Avec trois niveaux abritant la zone arrivée, la zone transit et la zone départ, l’infrastructure financée à hauteur de 150 millions de dollars par China Exim Bank, est une nouvelle plateforme aéroportuaire de 21.000 m², avec accès direct aux avions par trois passerelles d’embarquement télescopiques.
Ce qui ne laisse pas indifférents les géants du transport aérien, qui multiplient leurs vols sur Lomé depuis quelques mois.
C’est le cas de Brussels Airlines qui, depuis octobre 2015, dessert la capitale togolaise 4 fois par semaine, contre 2 auparavant.
Aussi la compagnie Air France offre-t-elle depuis mars 2016, un vol quotidien au départ de Lomé vers paris.
Signe d’un nouveau regain d’intérêt à la capitale togolaise, dont le projet prévoit une extension de la zone de fret qui devra permettre de gérer 50.000 tonnes, contre 15.000 actuellement.
Par Nephthali Messanh Ledy
Un commentaire
Sans commentaire, très bon article