L’examen du programme de la monnaie unique de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest a démarré ce vendredi 3 février à Freetown et ceci pour une semaine. Les acteurs de ce programme examinent durant ce séminaire l’état de mise en œuvre du programme de coopération monétaire de la CEDEAO, lit-on dans un communiqué de l’institution africaine.
Cette rencontre est aussi une tribune pour la CEDEAO pour examiner les rapports relatifs à l’évolution et la stabilité du secteur financier au sein de l’organisation, au taux de change au sein des Etats membres de l’espace communautaire, au projet de développement du système de paiement de la Zone monétaire ouest-africaine (ZMAO).
Les participants devront aussi évaluer l’impact du Brexit sur ces Etats et échanger leurs points de vue sur l’environnement économique international.
Selon la feuille de route pour le programme d’une monnaie unique pour la CEDEAO, qui a été approuvée et adoptée à l’issue de la 24ème réunion du Conseil de convergence des ministres et gouverneurs de la Zone monétaire ouest-africaine (ZMAO), l’Union monétaire de la CEDEAO sera lancée en 2020 avec l’établissement de la Banque centrale de la CEDEAO et la mise en circulation de la monnaie unique.
2 commentaires
Plus nocives et plus ecoeurantes que le pillage de l’Afrique sont les strategies mises en places afin de continuer à la piller. ex: Le franc CFA ne permet même pas de commercer librement entre les pays de l’UEMOA et ceux de la CEMAC. Or pour développer l’Afrique il faux l’industrialiser, pour l’industrialiser il faux élargir les échanges interafricaines, défis que la monnaie unique de la CEDEAO -Eco permettras de relever à condition qu’on la réussie, mais pour la réussir il faudrait pour commencer avoir un chemin de fer de la CEDEAO.Il est donc primordiale et indispansable de construire le chemin de fer Niger –Nigeria et Benin- Nigeria en faisant des voix à grannd écartement et également en prévoyant d’utiliser des essieux à écartement variable qui sont utilisés par des trains parcourant des lignes de chemin de fer d’au moins deux écartements différents ….
Si la Banque de développement de BRICS accepte de financer ce chemin de fer entre les pays de l’UEMOA et le Nigeria, et nous pouvons l’ espérer car son existence est cruciale pour la CEDEAO et sa monnaie unique l’ « ECO » , et donc pour l’Afrique entière, car tous les grands projets de l’Union Africaine , même le projet de la mise en place de la monnaie unique africaine, de la suppression des bannières douanières sur le continent commencent par les monnaie et ensembles régionaux, en premier lieux d…e la CEDEAO et son« ECO » . Il sera alor possible de former une zone de libre échange, comme la Zone Tripartite de Libre-échange (TFTA)composé de la CEDEAO +CEEAC +les pays de Maghreb, en y étendant la zone monétaire de l’ « ECO » en commençant par les pays de la CEMAC. En supprimant les bannières douanières entre la zone AOCM (l’Afrique de l’Ouest, du Centre et du Maghreb) et la Zone Tripartite de Libre-échange (TFTA) – l’Union Africaine deviendras une vaste zone de libre échange et pourras lancer des projets plus ambitieux. IL faut pour cela un coup de pouce comme le financement par la Banque de développement de BRICS du chemin de fer entre les pays de l’UEMOA et le Nigeria .Il revient donc a tout un chacun de lutter pour ce chemin de fer voit le jour : faitez des repostes et invitez tous vos amis à aimer cette page, écrivez des articles, adressez vous aux gouvernements, aux organisations étatiques et non étatiques.
Chaque situation évolue et donc celle de l’Afrique ne peux que soi s’empirer soit s’améliorer, par conséquent il est immorale de laisser ce combat aux générations à venir. La CEDEAO et la CEEAC ( z.l.e. de l’AOCM) pourrons ensuite procéder à l’émission d’emprunts obligataires communautaires pour financer les grands projets d’infrastructure de transport, tout en accroissant la coopération des bources africaines ( au niveau de l’association des bourses de la CEDEAO , BRVM-bourses de la CEMAC, celles de la CEDEAO et de la CEEAC entre elles et avec les autres bouses africaines à commencer par celle de Joanesburg). La coopération avec les pays de l’UNASUR et de BRICS, ouvriras d’énormes possibilités, mais ca seras surtout le Boum financier des bourses africaines grâce à ces émissions d’emprunts obligataires communs d’infrastructures, et l’utilisation de ses obligations dans les opérations REPO.
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Certes l’Afrique est confronté actuellement (ce n est certainement pas un hasard) à des tragiques défis tel que Ebola, le terrorisme, qui malgré le manque des moyens nécessitent une réponse immédiate et solidaire, il est donc d’ôtent plus important de définir la Politique Economique Commune, afin que chaque citoyen de l’Afrique sache que les problèmes dans les pays voisins ne sont pas tout simplement les problèmes des voisins, mais les siens !
Nous demandons à la Banque de développement de BRICS de financer la construction du chemin de fer entre les pays de l’UEMOA et le Nigeria (Niger –Nigeria et/ou Benin- Nigeria), car son existence est cruciale pour la CEDEAO et sa monnaie unique l’ « ECO », et donc pour l’Afrique entière, car tous les grands projets de l’Union Africaine, même le projet de la mise en place de la monnaie unique africaine, de la suppression des bannières douanières sur le continent commencent par les monnaie et ensembles régionaux, en premier lieux de la CEDEAO et son« ECO » .L’objectif est de former une zone de libre échange , comme la Zone Tripartite de Libre-échange (TFTA), composé de la CEDEAO +CEEAC +les pays de Maghreb, en y étendant la zone monétaire de l’ « ECO » en commençant par les pays de la CEMAC. En supprimant les bannières douanières entre la zone AOCM (l’Afrique de l’Ouest, du Centre et du Maghreb) et la Zone Tripartite de Libre-échange (TFTA) – l’Union Africaine deviendras une vaste zone de libre échange et pourras lancer des projets plus ambitieux. IL faut pour cela un coup de pouce comme le financement par la Banque de développement de BRICS du chemin de fer entre les pays de l’UEMOA et le Nigeria , l’apparition de ce chemin de fer est cruciale pour non seulement pour la CEDEAO et sa monnaie unique l’ « ECO », mais pour l’Afrique entière. Du fait de demeurer avec une monnaie artificielle- le franc CFA, rattaché au franc français et puis à l’Euro, on oublie ou on ignore même dans les pays d ’Afrique francophone que la monnaie unique se fait avant tout par et pour la libre circulation des marchandises de son espace économique comin, dont la «route» est le support indispensable. L’Autoroute Dakar-Lagos c’est très bien et même indispensable, mais pas suffisent, Il est primordiale de relier par le chemin de ferre les pays de l UEMOA avec le Nigeria. La CEDEAO et la CEEAC ( z.l.e. de l’AOCM) pourrons ensuite procéder à l’émission d’emprunts obligataires communautaires pour financer les grands projets d’infrastructure de transport, tout en accroissant la coopération des bources africaines ( au niveau de l’association des bourses de la CEDEAO que nous demandions depuis 2 ans ou plus, BRVM-bourses de la CEMAC, celles de la CEDEAO et de la CEEAC entre elles et avec les autres bouses africaines à commencer par celle de Joanesburg). La coopération avec les pays de l’UNASUR et de BRICS, ouvriras d’énormes possibilités, mais ca seras surtout le Boum financier des bourses africaines grâce à ces émissions d’emprunts obligataires communs d’infrastructures, et l’utilisation de ses obligations dans les opérations REPO. Certes l’Afrique est confronté actuellement (ce n est certainement pas un hasard) à des tragiques défis tel que Ebola, le terrorisme, qui malgré le manque des moyens nécessitent une réponse immédiate et solidaire, il est donc d’ôtent plus important de définir la Politique Economique Commune, afin que chaque citoyen de l’Afrique sache que les problèmes dans les pays voisins ne sont pas tout simplement les problèmes des voisins, mais les siens ! J’ais également envoyé une demande similaire à la Fédération de Russie, le Ministère Russe du Développement Economique m’as répondus que ma demande seras examiné par la NDB BRICS de qu’elle sera opérationnelle (la réponse en PJ), c’est-à-dire en 2016, étant donné que simultanément le département de la Banque seras ouvert en Afrique du Sud, le soutient de l’Union Africaine seras d’une importance capitale pour ce projet. Adresses électronique de notre association qui a pour l’objectif de mobiliser les compétences pour le développement de l’Afrique :http://news.aouaga.com/h/16933.html
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