Dans l’appréciation de la rocambolesque affaire de l’acquisition du port de Conakry, on ne fume pas le même calumet au sein de l’exécutif Guinéen en réaction aux allégations de corruption visant Vincent Bolloré pour «subordination d’agents publics étrangers». Ce contenu est réservé aux membres du niveau Premium uniquement.Adhérer Already a member? Connectez-vous ici...
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