Un monument disparaît. Le général Ahmed Gaïd Salah, puissant chef d’état-major de l’armée algérienne et vice-ministre de la défense, est mort à l’âge de 79 ans. La télévision publique algérienne a annoncé l’information,lundi 23 décembre 2019, sans donner des précisions.
Haute figure de l’armée depuis 1962, Ahmed Gaïd Salah a été de tous coups et de toutes les révolutions de palais qui ont émaillé l’histoire de ce grand pays maghrébin.
En avril dernier, c’est lui qui précipita la démission du président Abdelaziz Bouteflika, après avoir un an plutôt opéré une purge dans le haut commandement de l’armée .
Le général Gaïd Salah était le visage du haut commandement militaire, qui a assumé ouvertement la réalité du pouvoir jusqu’à l’élection le 12 décembre d’Abdelmadjid Tebboune comme nouveau chef de l’Etat. Malgré l’élection – contestée – d’un nouveau président, c’est bien Gaïd Salah qui dirigeait l’Algérie, écrit Le Monde.
Cette disparition rebat les cartes d’une démocratie militaire pressée par la rue algérienne d’opérer l’alternance.
Un commentaire
Quelle rue Algérienne. Ils sont quelques milliers venus des 4 coins du pays qui défilent à Alger et les médias de BHL, de France de Navarre veulent nous faire croire qu’ils sont nombreux!!! La majorité des algériens les vomissent eux les harkis et autres vendus qui défilent à Paris avec l’étendard créé par Jacques Benêt, partisan farouche de l’Algérie Française et de l’OAS!
Faud tout de même savoir que dans le reste du pays , il n’y a rien. Rien du tout! Excepté à Annaba, Constantine et Oran où quelques centaines de zouaves venus de toutes les régions du pays se rassemblent en voulant désespérément veulent faire croire autre chose! Alors gardez votre minable propagande pour vous et quelques crétins qui font semblant d’y croire pour paraitre plus beauf que le beauf français de l’OAS.