Les Instituts Pasteur de Madagascar et de Dakar ont récemment été confrontés à ce qui au départ s’apparentait à une théorie du complot mais à s’avère à l’arrivée être une information diversement appréciée sur des erreurs dans les tests au covid-19.
Dans la Grande île, tout part le 6 mai dernier quand l’IPM annonce dans son décompte quotidien un pic de 67 cas positifs contre une moyenne de 5 à 6 cas par jour. A la télévision nationale malgache, la porte-parole du Centre opérationnel de commandement Covid-19 faisait état ce jour-là d’un total cumulé de 193 cas pendant que l’Organisation mondiale de la Santé (Oms), se basant sur les chiffres de l’Institut Pasteur, annonce 225 cas confirmés.
Les protestations du gouvernement malgache sont immédiates. Une enquête est ouverte en même temps qu’une contre-expertise sur les échantillons positifs. Quelque 55 tests déjà annoncés positifs par l’Institut ont été repris par le même centre et un autre établissement, le Centre d’infectiologie Charles-Mérieux (CICM) , pour un résultat étonnant: seuls 5 cas étaient finalement positifs. Que faut-il en déduire ?
Pour l’Institut Pasteur de Madagascar que nous avons contactés, nous renvoyant au communiqué officiel diffusé suite à l’incident, « des échantillons sains ont pu être accidentellement contaminées mais sans que l’on sache à quel moment. Avant ou après leur arrivée à l’Institut ». Les autorités poursuivent de leur côté leurs investigations. Faut-il le rappeler, l’unité de virologie de l’Institut Pasteur de Madagascar a été l’une des premières en Afrique à détecter, par PCR, dès le 29 janvier, le nouveau coronavirus (SRAS-Cov-2).
L’autre polémique, à des milliers de kilomètres d’Antanarivo, concerne l’Institut Pasteur de Dakar, confronté lui aussi à des erreurs sur des cas déclarés positifs dans ses laboratoires. Les tests sur 10 médecins de l’hôpital Fann, déclarés positifs à la Covid-19 par les services de l’Institut, sont revenus négatifs, après un second essai. Prié de s’expliquer sur l’affaire, l’Institut Pasteur assure n’avoir jamais dit que les résultats sont positifs, affirmant plutôt que ces derniers n’étaient pas conformes en raison d’erreurs sur la fiche de prélèvement, dans les colonnes du journal Libération.
Les Instituts Pasteur de Dakar et de Madagascar sont des établissements privés à but non lucratif et reconnues d’utilité publique. Les deux organes appartiennent au Réseau international des instituts Pasteur qui gère 30 institutions dans 27 pays.
3 commentaires
Tout ces organismes mafieux doivent être purement et simplement chasser de d’Afrique car ils font tout pour que le nombre de cas positif soit énorme pour nous vendre des faux vaccins suicidaires. Ils l’avaient déjà fait pour plusieurs maladies avec des faux cas positif sur Ebola, VIH et d’autres
Vraiment très intriguant et article très intéressant vraiment! Belle symétrie hein…
En tous les cas, cela pose question sur les tests provenant d’on ne sait où??! Je pense qu’il faudrait à chaque fois préciser le nom des tests, l’origine, le pays, le fabricant, l’importateur…etc…Cette histoire n’est pas nette et il me semble q’on va en découvrir bien plus. Personne ne parles des tests comme s’ils étaient invisibles mais tout de même…plonger des écouvillons dans le nez, tester des individus alors qu’on découvre partout des tests déjà je dis bien déjà contaminés au coronavirus, n’est pas chose anodine! Des tests importés déjà contaminés ???!! En Grande Bretagne, en Belgique, en Tanzanie etc…Qui dit que ces tests ne donnent pas aussi le coronavirus ou déjà contaminés pour fausser les statistiques des pays importateurs et pour quelles raisons…? Les grosses entreprises pharmaceutiques, l’armée américaine, la CIA, les gouvernements occidentaux…..etc…? Tout ce la n’est pas clair et chapeau aux autorités pour avoir réagit aussi rapidement! On demande à en savoir plus sur cette affaire de tests pourris au coronavirus surtout…Pour moi c’est une affaire intrigante et cette enquête doit être suivi à tout prix!
Une mafia sans nom.et un dispositif qui est mis en oeuvre pour nous assujettir en tout plan . Je crois que cette crise est une façon pour réveiller les africains de leur léthargie et se.debarasser des blancs.