Pour l’avant-dernière semaine du mois de juillet les indices des bourses Africaines sont toujours aussi contrastées que les semaines précédentes. Les mauvais chiffres de l’emploi américains (20 millions de chômeurs), l’attente d’un vaccin salvateur qui perdure, ont l’un dans l’autre, des effets sur les places financières mondiales et les GAFAM.
En Afrique, les Bourses des valeurs mobilières résistent, plus sensibles aux tendances locales que globales et connaissent des évolutions parfois inattendues. Tour d’horizon de Johannesburg à Casablanca, en passant par Tunis et Abidjan, avec un accent particulier sur les 30 banques Africaines du moment à fort impact, les matières premières et le marché de la dette. Vivement que l’Association des Bourses de Valeurs Africaines (ASEA en anglais pour African Securities Exchanges Association) poursuive les démarches légales et techniques pour une interconnexion entre les places financières africaines.