La mine de niveau 1 de Kibali pourrait produire 500 000 onces d’or par an pendant dix ans sur la fourchette inférieure du profil de coût de l’industrie, a indiqué Mark Bristow, le PDG du Groupe Barrick Gold.
Au troisième trimestre 2020, la mine Kibali de Barrick Gold Corporation a atteint un nouveau record de production de sa mine souterraine, dépassant pour la première fois les prévisions depuis la mise en service du puits en 2018, signe que cette mine devrait atteindre ses objectifs de 2020.
« L’automatisation est souvent associée à une réduction de l’emploi. Mais, en ce qui nous concerne, nous nous en servons comme une opportunité pour le perfectionnement professionnel de nos travailleurs et la réduction de nos besoins en experts expatriés. Il convient de noter que la mine de Kibali – l’un des corps d’élite des mines de niveau 1 de Barrick – est dirigée par une équipe de gestion composée principalement de Congolais, conformément à notre politique d’emploi et de promotion des ressortissants des pays hôtes », a indiqué Mark Bristow.
Dans un communiqué, l’entreprise a expliqué que ce success story est le résultat de plusieurs innovations et facteurs. Il s’agit notamment de la technologie des batteries intégrée avec succès au réseau électrique afin d’augmenter la capacité des trois centrales hydroélectriques de la mine et compenser la charge cyclique du treuil d’exploitation ; la nouvelle technologie permettra de réduire davantage l’empreinte carbone de la mine, ainsi que l’utilisation de l’énergie thermique à quoi il convient d’ajouter les équipes d’exploration de Barrick déjà à la recherche du prochain Kibali ailleurs en RDC.