Au Mali, la compagnie canadienne B2Gold rapporte dans une note rendue publique le 15 juillet 2021, une production totale d’or continue et solide pour le deuxième trimestre de 2021 de 211 612 onces, soit un taux de production de 5 % au-dessus de sa prévision budgétaire. La société minière est en bonne voie pour atteindre ou dépasser l’extrémité supérieure de sa fourchette de référence annuelle de 970 000 à 1 030 000 onces courant 2021 avec des coûts d’exploitation au comptant total prévu consolidé compris entre 500 $ – 540 $ par once.
Les revenus aurifères consolidés au deuxième trimestre de 2021 se chiffrent à 363 millions $ sur des ventes de 200 071 onces à un prix moyen de 1 814 $ l’once, comparativement à 442 millions de dollars sur des ventes de 257 100 onces à un prix moyen de 1 719 $ l’once au deuxième trimestre de 2020. « Le débit de l’usine de Fekola au deuxième trimestre 2021 a atteint un record trimestriel de 2,29 millions de tonnes, soit 16 % au-dessus du budget et 47 % de plus qu’au deuxième trimestre 2020, après l’achèvement réussi de l’agrandissement de l’usine de Fekola en septembre 2020.», souligne le rapport publié par les responsables de B2Gold.
Par ailleurs, les revenus aurifères consolidés au premier semestre font état de 725 millions de dollars sur des ventes de 402 401 onces à un prix moyen de 1 802 $ l’once. Pour l’ensemble de l’année 2021, B2Gold reste bien positionnée pour maintenir une solide performance opérationnelle et financière
Sur la base des hypothèses actuelles, y compris un prix de l’or de 1 800 $ l’once, la société s’attend à générer des flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation d’environ 630 millions de dollars pour l’ensemble de l’exercice 2021 (environ 500 millions de dollars de flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation devraient être générés au deuxième semestre 2021)
Notons que la diminution des revenus aurifères de 18 % (79 millions $) était de 22 % attribuable à la diminution des onces d’or vendues (principalement en raison de la baisse de la production d’or et du calendrier des expéditions d’or), en partie contrebalancée par un impact de 4 % de l’augmentation dès le prix moyen de l’or réalisé.