En 2021 l’investisseur et homme d’affaire Tunisien Kamel Ghribi avait été élu parmi les 100 meilleurs chefs d’entreprises américains. En 2023, l’enfant de Sfax fut désigné par Fortunes Business Review parmi les 10 leaders les plus inspirants qui transforment l’entreprise en (“The 10 Most Inspiring Leaders Transforming the Business, 2023”). Une consécration de plus dans le parcours jalonné de succès du fondateur et président de GKSD Investment Holding, basé en Suisse. Le leadership visionnaire de cet entrepreneur chevronné en a rapidement fait lui un des leaders de la conception, de la création et de la gestion de projets de soins de santé complexes en Italie, en Afrique au moyen Orient etdans sa région natale de Mena en Tunisie. L’homme qui a su marier la finance à la santé ambitionne d’implémenter sa méthode à l’échelle du continent africain en vue d’emmener l’Afrique sur la voie de l’atteinte de l’objectif millénaire de la santé pour tous qui passe par la dotation des infrastructures sanitaires de qualité. Portrait d’un tycoon multicarte.
De Tunis à Rome en passant par la Suisse, la Russie et les Etats -Unis l’homme est célébré comme un investisseur talentueux, mais aussi comme un bâtisseur des fibres de connexion entre son pays d’origine, la Tunisie, l’Afrique, le Moyen-Orient et les pays suscités, plus haut .
Kamel Ghribi, président du groupe GK Investment Holding, basé en Suisse, intervient dans plusieurs pays dans des projets d’infrastructures autoroutières, aéroportuaires, sanitaires et divers secteurs. Dans son pays natal la Tunisie, il œuvre également à promouvoir les exportations tunisiennes sur le marché international. Il développe entre autres des partenariats avec des groupes européens, américains … pour investir en Tunisie. Son objectif principal est de faire de Tunis un hub pour les industries et produits destinés aux marchés africains et du Moyen-Orient.
Kamel Ghribi,, au regard des informations en notre possession a consacré une grande partie de sa vie à la facilitation d’un dialogue constructif entre les économies occidentales et les pays en voie de développement d’Afrique et du Moyen-Orient.
Né au sein d’une famille tunisienne modeste avec neuf frères et soeurs, il a appris le commerce international auprès de son père, homme d’affaires sfaxien. Suite au décès soudain de ce dernier, c’est Kamel qui a repris le relais et développé ses affaires grâce à l’expérience et au savoir-faire hérités de son père. Ainsi, à l’âge de vingt-neuf ans, il a été désigné vice-président d’Olympic Petroleum Corporation à New York et a occupé le poste de président d’Olympic Management en Italie. En 1994, Kamel est devenu P.D.G. d’Olympic Energy, holding basé en Europe opérant dans le domaine de l’énergie. Il a également été président d’Attock Oil Company avant sa vente en 2005.
Actuellement, sa principale ambition est de favoriser la création d’un climat économique approprié, apte à améliorer les conditions de vie dans les pays pauvres du Moyen-Orient et d’Afrique à travers le dialogue, la coopération et le respect mutuel avec les économies occidentales. Kamel souhaite voir une Afrique et un Moyen-Orient paisibles, où les leaders peuvent joindre leurs efforts pour créer des conditions favorables au bien-être et à la sécurité de tous.
En effet, selon lui, c’est à travers le renforcement de la coopération et du dialogue avec les nations les plus développées qu’il sera possible de construire une plateforme capable de promouvoir la reconstruction des économies pauvres et des sociétés déchirées. Il s’attelle à cette tâche en Lybie pays où il avait aussi été cœur des investissements.Ainsi, au cours des deux dernières décennies, tout en gérant ses intérêts commerciaux au sein d’un portefeuille diversifié d’investissements dans l’énergie, Kamel a assuré un service d’expert-conseil aux chefs d’entreprise et aux gouvernementsà l’instar du Kenya sous le président sortant Uhuru Kenyatta .Par ailleurs, il compte bientôt lancer une fondation caritative, GK Foundation, pour consacrer plus de temps aux causes qui lui sont chères.
De Sfax à la haute sphère fermée de la finance internationale
GKSD dispose d’un portefeuille très diversifié, allant de la santé et du conseil juridique et fiscal à l’ingénierie, en passant par l’approvisionnement et la construction, avec toujours le même engagement pour l’excellence. Kamel Ghrib, a mis à profit sa profonde compréhension de l’industrie pour élaborer des solutions d’investissement réalistes, efficaces et durables. De ces outils naissent des leviers pour dynamiser la croissance et la connectivité en Afrique et dans sa Tunisie natale.
Panafricain à la vison de Bourguiba, le chef d’entreprise en a fait du chemin depuis Sfax, une ville portuaire de la Tunisie. Les succès de son ascension en qualité d’entrepreneur avisé il les a puisés dans son enfance, entre deux parents qui lui inculquent très tôt l’éthique et la culture du travail bien fait. La petite entreprise commerciale, très prospère, servira d’incubateur à ses talents d’investisseur outillé ; car dès la fin de ses études. Les excellents choix qu’il fera ont servi de catalyseur …
On peut citer, à titre d’exemple, le rayonnement à l’international de Gruppo Ospedaliero San Donato (GSD), le plus grand groupe hospitalier privé d’Italie, dont Kamel Ghribi est le vice-président. La recette du succès est la même : le mariage entre la santé et la finance pour offrir des horizons nouveaux aux populations. Lors du séisme qui frappa la Syrie le PDG du Groupe Investment Holding Kamel Ghribi et songroupe hospitalier San Donato, a décidé, en coordination avec les autorités italiennes, d’envoyer des équipements médicaux dont des ambulances pour participer aux opérations de sauvetage en Syrie.
Ghribi a récemment signé des accords de partenariat avec l’État égyptien pour investir dans le secteur de la santé et d’autres secteurs de ce pays. «En tant que Tunisien et Arabe fier de mes origines, je considère l’Egypte comme le cœur de l’arabisme, la porte de l’Afrique et le pont entre le passé et l’avenir, et la Tunisie le berceau de l’histoire, de la culture, des arts et de la patrie, qui mérite tout le soutien, surtout en ce moment», a-t-il dit dans une interview accordé au journal Kapitalis , soulignant l’importance de «renforcer les liens historiques entre les pôles de la Méditerranée afin que les deux forces puissent se rencontrer à nouveau et s’unir pour tracer un avenir unique pour la région de l’Afrique du Nord et le bassin méditerranéen». Pour ce capitaine d’industrie, ilestime nécessaire d’établir un pont entre l’Egypte le cœur de l’Orient, et la Tunisie la porte de l’Afrique pour la traversée vers l’Europe et le pont qui relie le nord au sud, séparé moins d’une heure entre l’Europe et le continent africain, et c’est ce qui peut être utilisé et exploité dans la coopération arabo-méditerranéenne.
L’homme n’a ménagé aucun effort depuis sa première transaction dans les matières premières (le pétrole brut). Le métier de trader lui a permis de côtoyer des décideurs dans l’industrie, ce qui lui a ouvert les portes des sociétés pétrolières. C’est ce capital d’expérience et ces puissants réseaux notamment sous Kadhafi doit-il fut proche qui ont propulsé GK Investment Holding Group au milieu des années 1990 et à l’orée du nouveau siècle millénaire en 2000.