Auteur/autrice : Rédaction Financial Afrik

TUNIS, Tunisie, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Aggreko (http://www.aggreko.com), le leader mondial dans la fourniture de solutions d’énergie temporaire et de régulation de température, a fourni une centrale temporaire de 120 MW à la Tunisie. Cette centrale de production d’électricité contribuera à consolider et à la garantir l’approvisionnement en électricité locale pendant la saison touristique estivale de 2013. Les capacités de production supplémentaires ont été disposées à plusieurs endroits stratégiques à travers le pays pour une période de deux mois ; elles viennent en appoint au réseau d’électricité tunisien. Les centrales Aggreko ont aidé à garantir une source d’alimentation électrique fiable et constante durant tout l’été lorsque la demande en électricité était à son plus haut niveau.

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Avec ce contrat, attribué par la Société Tunisienne d’Electricitié et du Gas (STEG), Aggreko a installé quatre centrales électriques d’une capacité de 30 MW chacune à Enfida, Mateur, Bouficha et El Jem. C’est une capacité suffisante pour approvisionner plus de 190 000 foyers tunisiens, assurer la continuité de l’alimentation en électricité dans les grandes zones industrielles peuplées et surtout tout permettre aux centres touristiques, essentiels à l’économie tunisienne, de maintenir leur niveau d’activité.

Christophe Jacquin, directeur général d’Aggreko Afrique du Nord et de l’Ouest, a déclaré : « ce projet met en lumière les capacités d’Aggreko pour non seulement fournir des solutions importantes et complexes en matière d’électricité à nos clients mais aussi de le faire à la fois rapidement et pendant des périodes relativement courtes. L’usage tactique de l’alimentation électrique temporaire en vue de traiter les pénuries d’énergie saisonnières est une option intéressante pour le grand nombre de nos clients du service public puisqu’elle leur apportera un ravitaillement essentiel tout en prenant les mesures nécessaires pour corriger les lacunes dans leurs centrales et réseaux de distribution »

« Pouvoir mobiliser et commissionner 120 MW d’énergie répartis sur quatre localités différentes en moins de deux mois est une réalisation impressionnante », a affirmé David Taylor-Smith, Directeur régional d’Aggreko en Europe, Moyen-Orient et Afrique. « La capacité de réaliser des projets d’une telle envergure dans un délai aussi court est spécifique à Aggreko et témoigne de l’expérience et du professionnalisme de nos équipes d’ingénierie et techniques »

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Contact presse :

Nicholas van Santen

Directeur des Relations Publiques et de la communication

Aggreko EMEA

Tél. : +971 56 682 5978

E-mail : nicholas.vansanten@aggreko.ae

A propos de Aggreko

Aggreko International (http://www.aggreko.com) est le leader mondial dans la fourniture de solutions d’énergie temporaire et de régulation de température. Basée en Écosse, Aggreko emploie plus de 5 700 personnes réparties dans 194 centres de service. En 2012, nous sommes intervenus pour des clients dans environ 100 pays et avons généré un chiffre d’affaires d’environ 1,6 milliard GBP (2,5 milliards USD ou 2,0 milliards EUR). Aggreko plc est cotée à la bourse de Londres (AGK.L) et la société est membre de l’indice FTSE-100. Pour tout complément d’information, veuillez consulter le site Internet de la société à l’adresse : http://www.aggreko.com

Aggreko fournit des solutions d’alimentation électrique et de régulation de température rapidement mobilisables, sur des courtes ou moyennes périodes. Nous pouvons par exemple fournir de l’énergie à un site industriel pour assurer la continuité de son alimentation électrique, alimenter une ville lors de pannes sur le réseau local, ou fournir des solutions d’alimentation électrique et de refroidissement à l’occasion de grands événements (sport, musique…).

Nous répondons aux besoins de nos clients à travers nos 194 centres de service à travers le monde.

Parmi nos récents clients figurent notamment les Jeux olympiques et paralympiques de Londres 2012 (http://www.aggreko.com/media-centre/press-releases/aggreko-supports-a-powerful-london-2012), les Jeux olympiques d’hiver de Vancouver 2010 (http://www.aggreko.com/events/the-olympics/vancouver-2010) et les compagnies de services publics de plus de 50 pays : Royaume-Uni, France, Angola, Kenya, Indonésie, Bangladesh, Venezuela, Chili, Brésil, États-Unis…

En 2012, nous avons répondu aux besoins de près de 45 000 clients, dont 70 % nous ont accordé une note de 9/10 ou de 10/10 lors d’une enquête de satisfaction client.

Pour plus d’informations: http://africa.aggreko.com

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NEW YORK, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — DHL Express (http://www.dhl.com), la première société de messageries et de colis au monde, pense que les échanges entre les États-Unis et l’Afrique subsaharienne offrent des perspectives de croissance, du fait que ces deux régions se basent sur la récente directive de politique présidentielle américaine (Presidential Policy Directive, PPD) pour parvenir au développement durable par le biais de l’accroissement des échanges et des investissements.

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Photo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/charles-brewer.jpg (Charles Brewer, Managing Director for DHL Express Sub-Saharan Africa)

« Nous avons déjà assisté à cette expansion du commerce dans des pays spécifiques du continent, parce qu’ils bénéficient d’accords commerciaux préférentiels et d’un changement de politique mis en œuvre par l’État, visant à augmenter leurs exportations et importations avec les États-Unis » déclare Charles Brewer, Directeur général de DHL Express en Afrique subsaharienne. M. Brewer est actuellement en visite aux États-Unis en vue de rencontrer des principaux intervenants et des multinationales et pour promouvoir le commerce entre les deux régions.

Les chiffres publiés récemment par le Fonds monétaire international (FMI) ainsi que la performance de la Société montrent des perspectives économiques extrêmement positives pour l’Afrique. Les chiffres mettent également en évidence le fait que l’Afrique paraît moins confrontée aux aléas de l’économie mondiale que d’autres régions, du fait de la diversification de ses partenaires commerciaux.

« Depuis 2001, de nombreux pays africains ont connu un important changement de cap en termes de partenaires commerciaux », remarque M. Brewer. « Tandis que notre commerce intra-africain et avec l’Asie s’est intensifié de manière significative, nous avons réduit notre dépendance envers l’Europe. La prochaine région de croissance sera les États-Unis et nous sommes ravis de constater que le gouvernement américain est prêt à supprimer les barrières commerciales pour y parvenir ».

Le rapport sur les Perspectives économiques pour l’Afrique subsaharienne du FMI indique des prévisions d’augmentation de l’activité économique de 5 % dans cette région en 2012 et 2013, un rythme analogue à celui observé en 2010–11. Les marchés principaux à l’origine de cette croissance sont le Nigéria, le Ghana, le Mozambique, l’Île Maurice et l’Afrique du Sud.

La société de colis a vu un tableau analogue se profiler entre les États-Unis et diverses routes commerciales africaines bénéficiant d’économies plus importantes et plus développées telles que l’Afrique du Sud, le Nigeria, l’Éthiopie, le Kenya, le Ghana et l’Angola et qui peuvent se vanter d’une forte croissance à deux chiffres à la fois en ce qui concerne les volumes entrants et sortants.

Cependant, si l’on se base sur les chiffres de l’exportation, ce sont les plus petites économies émergentes qui enregistrent l’essor le plus important, où la Somalie, Mayotte, la Guinée-Bissau et le sud du Soudan constatent une augmentation fulgurante des importations provenant des États-Unis. Par ailleurs, les Comores, l’Érythrée, le sud du Soudan et le Libéria reçoivent une demande croissante en termes d’exportations vers les États-Unis.

« Les États-Unis et l’Afrique ont toujours bénéficié de conditions commerciales favorables basées sur la croissance africaine et sur la loi sur les opportunités économiques en Afrique (AGOA) de 2000 », a déclaré Ian Clough, Président de DHL Express aux États-Unis. « Nous sommes convaincus qu’une fois la législation révisée, aussi bien les États-Unis que les entreprises africaines en quête d’opportunités commerciales transfrontalières bénéficieront de nouveaux avantages ».

Selon des statistiques publiées par le Forum de l’AGOA à Addis-Abeba le mois dernier, le total des échanges commerciaux des États-Unis avec l’Afrique subsaharienne (exportations plus importations ) a progressé de plus de 250 %, passant de 28,2 milliards de dollars en 2001, la première année complète d’échanges commerciaux dans le cadre de l’AGOA, à 72,3 milliards de dollars en 2012.

« Il ne fait aucun doute qu’il existe un engagement en termes de croissance commerciale de la part des gouvernements respectifs et que ces chiffres continueront à progresser », conclut M. Brewer. « C’est maintenant au tour du secteur privé et des milliers de PME en quête d’opportunités de profiter de cette croissance et de développer leurs activités sur cette route commerciale lucrative ».

Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour Deutsche Post DHL.

Contact pour les médias :

Lee Nelson. Responsable senior du marketing et des communications, Afrique subsaharienne

DHL Express

Tél. : +27 21 409 3613 – Mobile : +27 72 361 0178

lee.nelson@dhl.com

DHL – La société de logistique du monde (The Logistics company for the world)

DHL (http://www.dhl.com) est le leader mondial du marché de la logistique et « la société de logistique du monde (The Logistics company for the world) ». DHL met son expertise dans le domaine des services express internationaux, du fret aérien et maritime, du transport routier ou ferroviaire, de la logistique contractuelle et du courrier international, au service de ses clients. Un réseau mondial composé de plus de 220 pays et territoires, et d’environ 285 000 salariés dans le monde entier, offre à ses clients un service de qualité de haut niveau et une connaissance du terrain, permettant de satisfaire aux exigences dictées par leurs chaînes d’approvisionnement. DHL assume sa responsabilité sociale en soutenant la lutte contre le changement climatique, la gestion des catastrophes naturelles et l’éducation.

DHL fait partie de Deutsche Post DHL. Le groupe a enregistré des recettes d’un montant supérieur à 55 milliards d’euros en 2012.

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LAGOS, Nigeria, 19 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — S’appuyant sur ses années fructueuses de partenariat avec Hilton Worldwide, Transnational Corporation of Nigeria Plc (Transcorp), conglomérat coté en bourse, a annoncé aujourd’hui le développement d’un nouvel hôtel de premier choix dans la banlieue chic d’Ikoyi à Lagos.

Photo: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=633 (Tony O. Elumelu, Prédident de Heirs Holdings etTranscorp (à gauche) et Rudi Jagersbacher, Président de Hilton Worldwide Middle East & Africa, signent l’accord portant sur le Transcorp Hilton Ikoyi, au siège de Heirs Place, à Lagos, hier)

Logo Heirs Holdings: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/heirs-holdings.jpg

L’hôtel Transcorp Hilton Lagos proposé, comptant 350 chambres et offrant un service complet sur Glover Road, à Ikoyi, sera le deuxième hôtel du Groupe Hilton au Nigeria par Transcorp, après le Transcorp Hilton Hotel Abuja primé, qui est l’un des leaders du réseau mondial d’Hilton. Ce nouvel hôtel sera conjointement détenu par Transnational Hotels et Tourism Services Ltd, branche hôtelière de Transcorp, et Heirs Holdings, société d’investissement par actions pan-africaine présidée par le dirigeant commercial africain, Tony O. Elumelu, Commandant de l’ordre nigérian.

S’exprimant lors de la signature officielle du contrat de gestion entre les deux parties, qui s’est déroulée dans les bureaux d’Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com) à Lagos, M. Elumelu a déclaré : « Cet accord représente une nouvelle étape décisive de notre partenariat de longue date avec Hilton Worldwide. Le développement d’Ikoyi, ainsi que la rénovation et la mise à niveau complètes de nos hôtels existants à Calabar et Abuja, démontrent l’engagement d’Heirs Holdings à stimuler la croissance de l’immobilier et de l’hôtellerie, des secteurs stratégiques pour le développement économique du Nigeria. Le nouveau Transcorp Hilton Lagos présentera non seulement un nouveau lieu de classe mondiale au nombre croissant d’investisseurs, d’hommes d’affaires et de touristes au Nigeria, mais créera également des emplois réellement nécessaires pour nos citoyens, permettant leur développement social et économique. »

Dans ses remarques, Valentine Ozigbo, PDG de THTSL, a affirmé que le Transcorp Hilton Lagos réaliserait enfin le souhait des nombreux clients Hilton Honors visitant la ville, à savoir leur offrir un établissement de classe mondiale de leur marque préférée à Lagos.

Les travaux complets de construction du nouvel hôtel débuteront au début de l’année prochaine. L’hôtel disposera de salles de conférence, de salles de réunion, de salles de gymnastique et de spas bien équipés, ainsi que d’une piscine au design emblématique qui ajoutera à coup sûr une certaine verve au paysage de Lagos.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

Pour de plus amples informations, veuillez contacter :

Dupe Olusola

Directrice des ressources

Transnational Corporation of Nigeria Plc

E-mail : dolusola@transcorpnigeria.com

Téléphone : +234 (0)1 903 3946

À propos de Transcorp

Transnational Corporation of Nigeria Plc (Transcorp) est un conglomérat coté en bourse possédant une base d’actionnaires diversifiée comptant plus de 300 000 investisseurs, dont le plus important est Heirs Holdings Limited, une société d’investissement par actions pan-africaine. Le portefeuille de Transcorp comprend des investissements stratégiques dans les secteurs de l’hôtellerie, de l’agroalimentaire et de l’énergie. Nos entreprises notables comprennent Transcorp Hilton Hotel, Abuja ; Transcorp Hotels, Calabar ; Teragro Commodities Limited, opérateur de l’usine Teragro Benfruit – la première usine de concentré de jus du Nigeria ; et Transcorp Ughelli Power. Pour tout complément d’information sur Transcorp, veuillez consulter le site http://www.transcorpnigeria.com

À propos d’Heirs Holdings Limited

Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com) est une société d’investissement par actions pan-africaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.

À propos d’Hilton Hotels & Resorts

L’un des noms les plus reconnus de l’industrie, Hilton Hotels & Resorts est le leader mondial haut de gamme et innovant du secteur hôtelier. Depuis les bals d’investiture et les cérémonies de remise de prix à Hollywood aux événements d’entreprises, en passant par les événements marquants de la vie courante, Hilton est là où le monde marque l’histoire, conclut un contrat, célèbre des occasions spéciales et se détend. La marque vedette d’Hilton Worldwide continue de s’appuyer sur son héritage d’innovation en développant des produits et services qui répondent aux besoins des voyageurs mondiaux avisés de l’avenir, alors que plus de 144 000 collaborateurs façonnent des expériences permettant aux gens de se sentir choyés, estimés et respectés. Aujourd’hui, le portefeuille d’Hilton Hotels & Resorts comprend plus de 550 hôtels dans 80 pays et la marque reste synonyme d’« hôtel ». Consultez les toutes dernières actualités relatives à Hilton à l’adresse http://news.hilton.com ou débutez votre voyage sur le site http://www.hilton.com. Les utilisateurs de médias sociaux peuvent contacter Hilton via http://www.twitter.com/hiltonhotels, http://www.facebook.com/hilton et http://www.youtube.com/hilton. Hilton Hotels & Resorts est l’une des dix marques leaders sur le marché d’Hilton Worldwide.

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RUEIL-MALMAISON, France, 18 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Schneider Electric (http://www.schneider-electric.com), spécialiste mondial de la gestion de l’énergie, a été classé parmi les 50 employeurs préférés des étudiants selon l’index World’s Most Attractive Employers du cabinet Universum le spécialiste mondial de la marque employeur. Classé 45ème auprès des étudiants en écoles d’ingénieurs, le Groupe se distingue comme un employeur idéal dans les domaines de l’ingénierie et de la production.

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Le classement World’s Most Attractive Employers d’Universum est établi sur la base d’une étude effectuée auprès de 200 000 étudiants en école de commerce ou d’ingénieurs dans 12 plus importantes économies mondiales: l’Australie, le Brésil, le Canada, la Chine, la France, l’Allemagne, l’Inde, l’Italie, le Japon, la Russie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis. Les étudiants sont appelés à se prononcer sur les entreprises dans lesquelles ils souhaiteraient travailler, puis à choisir leurs 5 employeurs idéaux.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Schneider Electric SA.

Contact Presse :

Schneider Electric

Sophie Souquet

Tél. : +33 (0)1 41 29 84 18

sophie.souquet@schneider-electric.com

Schneider Electric France

Jean-Pierre Gherardi

Tél. : +33 (0)4 76 60 50 24

jean-pierre.gherardi@schneider-electric.com

Havas Worldwide Paris

Renato Martinelli

Tél. : +33 (0)6 34 39 11 36

schneider.presse@havasww.com

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ABUJA, Nigeria, 18 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le président Goodluck Jonathan a déclaré que la compétitivité des entreprises du Nigeria et sa capacité à attirer des investissements tant locaux qu’internationaux sera sensiblement améliorée grâce à la nomination de l’ex-banquier Chika Mordi au poste de premier chef exécutif du comité national pour la concurrence du Nigeria (National Competitiveness Council of Nigeria – NCCN).

Le président Jonathan, qui a récemment mis en place le NCCN, a déclaré :« Cette étape importante, de la part du comité national pour la concurrence, prouve l’engagement du Nigeria à transformer rapidement l’activité commerciale et à accroître la productivité au Nigeria »

Le président Jonathan a inauguré le Conseil plus tôt cette année, avec le ministre du commerce et de l’investissement, Olusegun Aganga en qualité de président, et Tony O. Elumelu, président de Heirs Holdings, qui représente le secteur privé en tant que vice-président. Parmi les autres membres provenant des communautés internationales et nigérianes, on peut nommer, entre autres : Michael Porter, Aliko Dangote, Lynda Chalker, et le Dr. Juan E. Pardinas, directeur de l’Institut mexicain de la compétitivité.

M. Aganga, un acteur de premier plan de l’équipe de transformation du président, a déclaré : « Nous sommes fiers d’avoir M. Mordi à la tête des affaires du Conseil. Son parcours remarquable prouve qu’il possède l’expérience, les capacités intellectuelles et l’ambition nécessaires pour permettre au Nigeria d’obtenir une stature économique mondiale »

Mordi dirigera un organisme placé sur un plan stratégique, appartenant à une politique plus large de l’administration de Jonathan qui vise à améliorer de façon radicale la capacité des entreprises locales et internationales à contrôler et à exploiter les affaires au Nigeria, le pays le plus peuplé d’Afrique qui abrite l’un des plus importants marchés de consommation au monde. Ces résultats seront évalués par l’indice de compétitivité internationale du Forum économique mondial du Nigeria et par le classement de l’indice Doing Business de la Banque mondiale, indices qui sont des références internationalement reconnues pour l’ouverture de l’économie d’un pays.

Selon la Banque mondiale, les pays qui mènent avec succès des réformes et qui sont capables d’anticiper les obstacles réglementaires enregistrent une meilleure performance économique, créent plus d’emplois et ont un meilleur niveau de vie.

M. Elumelu, également fondateur de la Tony Elumelu Foundation, qui a accordé une subvention de démarrage au Conseil, a déclaré : « La compétitivité est une condition préalable aux fins du développement d’un pays. Le NCCN travaille à la création d’un environnement favorable pour permettre au secteur privé de se développer. C’est la seule solution durable qui permettra le développement du Nigeria et de l’Afrique. M. Mordi offre un ensemble de compétences et de solides références, qui me confortent dans le fait que nos objectifs seront atteints »

Le Conseil a choisi M. Mordi via un processus de recrutement publié à l’échelle internationale, où se sont présentées un certain nombre de personnes très talentueuses. Il est le fondateur de Accender Africa, une organisation à but non lucratif basée à Washington, D.C. qui cherche à utiliser les nouveaux outils de communication pour augmenter la transparence au sein du gouvernement, avec pour objectif la lutte contre la pauvreté.

« Je suis fier de pouvoir contribuer de manière significative au développement du Nigeria et à son profil commercial mondial. Le secteur privé joue un rôle déterminant dans la création de la croissance durable, réduisant ainsi la pauvreté et stimulant la prospérité collective des Nigérians. Le NCCN est intrinsèque à garantir la mise en place de bonnes conditions qui permettront de sécuriser le futur du Nigeria ; c’est avec beaucoup d’enthousiasme que j’entends relever le défi », a déclaré M. Mordi.

M. Mordi, banquier professionnel, travaille depuis plus de vingt ans dans le secteur financier et a joué un rôle clé dans la transformation spectaculaire du secteur des services financiers du Nigeria, y compris le repositionnement de United Bank for Africa Plc en tant que l’une des grandes institutions financières africaines. Il a aussi contribué à l’incubation de plusieurs entreprises au Nigeria et au Ghana, et au cours de sa carrière en banque d’affaires, il a géré des opérations historiques en Afrique subsaharienne en matière d’actions, de revenus fixes, de financement d’entreprises, de conversion de dettes et de privatisation.

M. Mordi a une formation d’économiste et est diplômé de l’Université d’Ilorin, de l’IESE Business School, de l’Harvard Kennedy School, de l’American University’s Graduate School of Communications et de la John Hopkins School of Advanced International Studies. Il a également participé au programme de gestion avancée de la Harvard Business School.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

Pour plus de renseignements :

Moky Makura

Directrice du marketing et des communications d’entreprise

Heirs Holdings

E-mail : moky.makura@heirsholdings.com

www.heirsholdings.com

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DAKAR, Sénégal, 18 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — L’Organisation de la Presse Africaine (APO) (http://www.apo-opa.com), le leader mondial de la diffusion de communiqués de presse en Afrique, a annoncé aujourd’hui le triplement de sa capacité d’envoi de communiqués de presse par e-mail, qui atteint désormais 1 million d’e-mails par jour.

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Ce nouvel investissement va permettre à l’APO de répondre à la demande croissante en diffusion de communiqués de presse en Afrique, grâce à une plateforme de diffusion extrêmement fiable et compétitive, et de consolider ainsi son leadership technologique et commercial, marqué par le succès d’Africa Wire®, le service de distribution de communiqués de presse et de monitoring en Afrique (http://www.apo-opa.com/our-services/press-release-distribution-monitoring).

L’APO offre notamment à ses clients la possibilité d’enrichir leurs communiqués de presse diffusés par e-mail en y ajoutant gratuitement du contenu multimédia tels que des photos, des vidéos, des fichiers audio, des liens et des documents.

Les communiqués de presse comportant des éléments multimédia génèrent des taux de lecture largement supérieurs à des communiqués de presse composés uniquement de texte.

Considéré comme un expéditeur de gros volumes d’e-mails, l’APO respecte les meilleures pratiques en matière d’envoi d’e-mails et jouit d’une excellente réputation en tant qu’expéditeur d’e-mails avec un Sender Score stable de 99/100*, garantissant ainsi un très bon taux de délivrabilité des e-mails.

« En réponse à la demande croissantes en diffusion de communiqués de presse en Afrique, nous sommes ravis de pouvoir accompagner nos clients en renforçant notre capacité d’envoi de communiqués de presse par e-mail », a déclaré la Directrice générale de l’APO, Eloïne Barry.

L’APO administre Africa Wire®, le service de distribution et de monitoring de communiqués de presse en Afrique (http://www.apo-opa.com/our-services/press-release-distribution-monitoring), qui atteint plus de 25.000 contacts auprès des médias, blogueurs et réseaux sociaux, et redistribue du contenu à plus de 50 sites Web africains, ainsi qu’à Bloomberg Terminal, Lexis Nexis, Dow Jones Factiva et bien d’autres.

Utilisé par certaines des plus importantes sociétés et institutions au monde, notamment DHL, Microsoft, Mastercard et la Banque africaine de développement, Africa Wire® garantit la diffusion la plus vaste en Afrique, aidant les clients de l’APO à interagir avec leurs clients dans le monde entier.

* Selon Return Path (www.returnpath.com), leader mondial de la veille appliquée à la messagerie.

Contact:

Aïssatou Diallo

bdm@apo-opa.org

+41 22 534 96 97

A propos de l’APO

L’Organisation de la Presse Africaine (APO) (http://www.apo-opa.com) est le leader mondial de la diffusion de communiqués de presse en Afrique, et des relations presse liée à l’Afrique.

L’Organisation de la Presse Africaine administre un fichier presse de plus de 25 000 contacts et offre une gamme complète de services de relations presse, tels que diffusion de communiqués de presse et monitoring, visioconférence de presse, webcasting, médiatisation d’événements internationaux, veille media internationale, conseil stratégique, diplomatie publique, et relations avec les gouvernements.

L’Organisation de la Presse Africaine fournit des services gratuits aux journalistes africains, des services de relations presse innovants aux Autorités Publiques, aux entreprises, et contribue à la communication stratégique de la plupart des institutions internationales liées à l’Afrique. Plus d’information sur http://www.apo-opa.com

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Addis Ababa, 09 September 2013 (ECA) – The African Alliance for e-Commerce (AACE) and the Malagasy Customs are organizing the 3rd International Single Window Conference and Exhibition from September 16 to 18 in Antananarivo, the capital city of Madagascar. About 150 delegates from within and outside Africa are expected to attend the event. They include officials in charge of the economy, trade, transport, information and communication technologies and departments responsible for border control in African countries. Others are representatives of donors, airport and seaport authorities, shipping lines, land-based and air-freight transport companies; stevedoring operators and container terminals; banks and insurance…

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Nairobi, 16 September 2013 – The Intergovernmental Authority on Development (IGAD) will launch its Sustainable Tourism Master Plan (STMP) as an instrumental blueprint to enhance regional integration in Eastern Africa and improve regional destination competitiveness. The IGAD Tourism Master Plan was developed through the technical support provided by the Economic Commission for Africa (ECA). th of October 2013 in Nairobi, Kenya. 

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TUNIS, Tunisie, 14 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, le 11 Septembre 2013 à Tunis, l’octroi de subventions à l’Union des Comores, à hauteur de 20,1 millions de dollars US, pour renforcer la fourniture en énergie électrique du pays dans le cadre d’un Projet d’appui au secteur de l’énergie.

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Ce financement est dégagé des ressources de la BAD : 8,3 millions de dollars US, du Fonds africain de développement (FAD) et 12,1 millions de dollars US de la Facilité des Etats fragiles.

Le projet doit être mis en œuvre dans les trois îles principales du pays (Grande Comore, Anjouan et Mohéli). Il s’inscrit dans les actions entreprises par le gouvernement pour améliorer les performances et promouvoir le développement du secteur de l’énergie.

Le Projet d’appui au secteur de l’énergie va permettre une alimentation électrique fiable grâce à une meilleure capacité de production, la réduction du niveau des pertes techniques et commerciales et le renforcement des capacités du secteur de l’énergie. La mise en œuvre de ce projet, prévue sur une durée de 38 mois, constitue également une étape importante pour doter l’Union des Comores des études nécessaires à l’exploitation de son potentiel en énergies renouvelables, jetant ainsi les bases d’une croissance verte dans un état fragile.

Il permettra également de réhabiliter les installations de production dans les trois îles, de contribuer à améliorer la gouvernance financière par le renforcement des capacités dans le sous-secteur de l’électricité, et de promouvoir la préparation du futur projet d’énergie renouvelable par la réalisation d’études appropriées.

Les composantes du projet sont principalement: l’appui à la réhabilitation et à la mise en œuvre technique, la composition de l’énergie, l’efficacité énergétique, et le renforcement des capacités.

Le projet est en adéquation avec les priorités définies par la Stratégie de la Croissance et de Réduction de la Pauvreté (SCRP 2009-2014) des Comores. Ce documenti fait de la promotion de la stabilité macroéconomique et de la gouvernance, deux de ses quatre centres d’intérêt. le projet est également compatible avec les priorités énoncées dans l’Initiative nationale pour le développement social (INDS 2011-2015) cherchant à promouvoir la croissance, la compétitivité et l’emploi en ciblant les secteurs de l’énergie et des infrastructures ; et à renforcer le secteur privé par l’amélioration de la production de l’électricité.

Ce projet permettra également de compléter la stratégie de la vice-présidence de l’Union des Comores en charge de l’énergie qui a défini des plans pour mettre en œuvre la politique de développement de l’électricité et du secteur des produits pétroliers. Ceci passe par l’augmentation du taux d’électrification et la réalisation de 40 % de réduction du coût de production d’électricité d’ici 2015 par rapport au niveau de 2012.

Pour sa part, et selon le document de stratégie pays (DSP) pour la période 2011-2015, l’assistance du Groupe de la Banque aux Comores est uniquement axée sur un seul pilier, le développement du secteur de l’énergie et l’appui à la diversification économique. Le DSP inclut également le renforcement du secteur de l’énergie renouvelable, qu’il juge nécessaire pour améliorer la compétitivité du pays. L’exploitation accrue du potentiel des énergies renouvelables dans le cadre d’une politique énergétique durable est identifiée dans le DSP comme un effet de levier qui pourrait aider à promouvoir le développement économique en réduisant le coût de production et le prix de l’électricité.

Dans l’ensemble, le projet permettra à la Banque d’appuyer les efforts du gouvernement comorien en vue de restructurer le secteur de l’énergie, notamment en matière d’accès à l’électricité, en vue d’améliorer les conditions de vie de la population et des entreprises travaillant dans la zone d’influence du projet.

Le projet est cofinancé par la Banque mondiale, à hauteur de 5 millions de dollars US.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contact technique : Youssef Arfaoui, chief renewable energy specialist, +216 71 10 23 08; y.arfaoui@afdb.org

Contact media : Pénélope Pontet de Fouquières, T. +216 71 10 19 96; p.pontetdefouquieres@afdb.org

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TUNIS, Tunisie, 14 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, le mercredi 11 Septembre 2013 à Tunis, un prêt et une subvention d’un montant total de 16,66 millions de dollars US, pour financer le deuxième projet de réhabilitation et d’extension des réseaux électriques de Conakry (PREREC2), la capitale guinéenne.

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Le projet contribuera à améliorer la gouvernance et la gestion commerciale de la société Electricité de Guinée (EDG), à appuyer le gouvernement dans la réforme du sous-secteur de l’électricité et à étendre le réseau de distribution énergétique à 12 quartiers des communes de Ratoma et de Matoto à Conakry.

PREREC2 fait suite au premier projet, PREREC1, en cours d’achèvement dans 30 autres quartiers des mêmes communes et dont l’exécution a permis d’améliorer considérablement la qualité de l’électricité fournie aux consommateurs.

Les objectifs spécifiques du PREREC2 sont d’une part, de connecter 40.000 abonnés grâce à l’installation de compteurs prépayés ; réduire le taux de pertes globales dans la zone du projet de 49% à 15% . D’autre part, il s’agit de renforcer la gestion financière d’EDG en instituant un contrôle et un équilibre financier tout en’améliorantt sa gestion commerciale avec l’ augmentation du taux de facturation de 51% à 85% et de celui durecouvrement de 80% à 95% dans la zone du projet.

Le projet est en adéquation avec les piliers 1, 3 et 4 du troisième Document de stratégie de réduction de la pauvreté de la Guinée (DSRP III) pour la période 2013-2015. Ce document met l’accent sur la gouvernance et le renforcement des capacités humaines et institutionnelles. Il s’agit également d’appuyerl’accélération , la diversification et la croissance durable. En outre,l’effort portera surle développement des infrastructures pour soutenir la croissance et l’amélioration de l’accès aux services sociaux de base et la résilience des ménages dont l’un des sous-piliers est «l’amélioration de l’accès aux services énergétiques dans les zones urbaines et suburbaines. « 

L’expertise de la Banque dans la définition et la mise en œuvre de projets similaires dans les pays et dans la sous-région, ainsi que les consultations avec des partenaires internationaux ont joué un rôle déterminant dans la conception du projet. L’accent est mis sur l’amélioration de la gouvernance et le renforcement des capacités humaines et institutionnelles pour assurer, de façon durable, la viabilité de l’infrastructure. L’intervention de la Banque aidera également à lever des fonds auprès d’autres partenaires techniques et financiers du pays.

La zone d’influence du projet couvre les communes de Ratoma et Matoto, avec une population estimée à 1,4 million d’habitants dont 52,1% de femmes. Elle compte également près de 2.300 très petites entreprises (TPE) artisanales et commerciales, une quarantaine d’usines et quelque 141 associations féminines actives. Les bénéficiaires directs du projet sont les 40.000 abonnés composés de ménages, d’associations féminines et de très petites entreprises commerciales et industrielles qui seront connectés au nouveau réseau électrique. Les principaux résultats attendus sont l’accès à un service d’électricité de qualité et l’amélioration d’un environnement qui soit plus propice au développement des activités socio-économiques.

Le coût total du projet est estimé à 32,8 millions de dollars US. Il est cofinancé par la Banque islamique de développement (BID) et le gouvernement guinéen. Le projet sera mis en œuvre de 2013 à 2017.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contact technique: Pierre Djaigbe, Principal Energy Officer ; p.djaigbe@afdb.org

Contact médias : Pénélope Pontet de Fouquières , T. +216 71 10 19 96 ; p.pontetdefouquieres@afdb.org

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FREETOWN, Sierra Leone, 12 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Aujourd’hui, les événements solennels avec la participation du Président de Sierra Leone, Ernest Bai Koroma, le vice-ministre des Affaires Etrangères de la Russie, Guennadi Gatilov et le président de la compagnie LUKOIL Overseas (http://www.lukoil.com), Andrey Kuzyaev, se sont déroulés en République de Sierra Leone à l’occasion du démarrage d’un nouveau programme de forage d’exploration mené par la compagnie LUKOIL sur le bloc SL-5-11 dans l’offshore de l’Afrique de l’Ouest.

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La cérémonie de lancement s’est déroulée sur la plate-forme Eirik Raude qui a entamé le forage d’un puits profond sur la structure Savannah. La profondeur totale d’étude du puits d’exploration est estimée à plus de 4 700 m avec une profondeur d’eau de plus de 2 000 m.

La plate-forme Eirik Raude est la plus grande plate-forme marine du monde à autopropulseur de 5ième génération. Sa hauteur est de 122 m, sa longueur fait 119 m, sa largeur mesure 85 m, son tirant d’eau est de 52 500 tonnes, sa vitesse atteint 7 nœuds, l’équipage est de 120 personnes.

En juillet 2011, la compagnie LUKOIL Overseas, qui gère les projets d’exploration et de production de LUKOIL, a signé le CPP (Contrat de Partage et de Production) relatif à l’exploration et à l’exploitation du bloc SL-5-11 en tant qu’Opérateur (avec 49% des parts). Les autres participants au projet sont la compagnie nigériane Oranto Petroleum (30%) et PanAtlantic (21%).

Le bloc SL-5-11 avec une superficie de 4022 Km2 est situé sur le plateau continental et le talus continental de l’océan atlantique à des profondeurs d’eau variant de 100 à 3300 m. Sur ce bloc, des recherches sismiques 2D et 3D ont été réalisées sur une superficie de 1500 Km2, mettant en évidence quelques structures prometteuses. Le bloc fait partie du bassin sédimentaire Sierra Leone – Libéria ayant été marqué par quelques découvertes pétrolières et gazières ces dernières années.

Un contrat typique d’exploration et d’exploitation d’une période de 30 ans a été signé sur ce bloc. Le programme d’exploration prévoit la réinterprétation des données sismiques précédemment acquises, la prospection électrique et le forage d’un puits d’exploration.

L’étape actuelle des travaux d’exploration court jusqu’au 31 décembre 2013. La composition de l’étape suivante de l’exploration dépendra des résultats du forage.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour LUKOIL.

Press centre OAO «LUKOIL»

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The celebration of fifty years of Pan-African institutional history is a time for reflection.  Like the famous mythical Sankofa bird symbol, Africans must look into their past to create their future; acknowledging our previous mistakes and learning from them but also celebrating our successes and building on them. By Carlos Lopes

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«Annelies Ilena» anciennement connu sous l’appellation «Atlantic Dawn», un bateau de pêche  qualifié de « véritable monstre des mers » a été signalé dans les eaux mauritaniennes fin août/début septembre. Une présence qui pousse l’ONG Greenpeace Afrique, des organisations professionnelles de pêche et de la société civile, à tirer la sonnette d’alarme dans une déclaration conjointe.

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Par Youcef MAALLEMI- Alger La cérémonie d’ouverture de la 22e Conférence régionale africaine d’Interpol s’est tenue en présence du directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), le général major Abdelghani Hamel, du Secrétaire général d’Interpol,  Ronald Kenneth Noble, et du vice-président de la région Afrique, Mohamed Amadou.La «Lutte contre le trafic des stupéfiants nécessite plus de coopération et d’échanges d’information», a souligné la présidente d’Interpol, Mme Mireille Ballestrazzi. La présidente d’Interpol a souligné qu’une  nouvelle stratégie a été adoptée  pour la période 2014-2016, tout en mettant l’accent sur les priorités accordées essentiellement au démantèlement des filières criminelles, notamment grâce à l’accès…

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TUNIS, Tunisie, 11 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Dans sa note économique intitulée « Passage du statut d’Etat rentier à l’économie productive : planification du développement dans la Libye de l’après-guerre civile », le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) analyse le changement qui doit s’opérer en Libye au moment où, au lendemain de la guerre civile, le pays s’apprête à s’engager dans un processus de planification économique à long terme. Ce changement consiste à passer d’une économie reposant essentiellement sur les recettes pétrolières dans le cadre d’un système quasi dépourvu d’institutions nationales, vers le développement d’un nouvel État, dont les institutions économiques s’allient de manière plus inclusive et plus intégrée.

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La note inclue une série de recommandations, afin de catalyser les efforts de planification de la Libye nouvelle.

La note souligne, tout d’abord, la nécessité d’améliorer les connaissances des institutions. Dans cette perspective, il importe de développer les capacités de collecte d’informations afin de doter l’État de moyens d’élaboration de politiques de développement plus importants, et de prévoir une collecte centralisée de l’information, disponible pour le grand public.

Par ailleurs, la note met l’accent sur le besoin d’améliorer la gouvernance de l’économie. Le document suggère de créer des équipes indépendantes, chargées de la gestion de la richesse et des fonds d’investissement souverains, et de décentraliser l’économie nationale partout où cela est possible et réalisable.

Concernant l’environnement des affaires du pays, le document souligne l’importance d’élaborer, de renforcer et de rendre publics des codes d’investissement, de rationnaliser davantage la bureaucratie du pays, et de soutenir les efforts en cours visant à réformer le secteur bancaire.

Pour finir, s’agissant du rôle de l’État et du secteur privé, la note suggère de concevoir des scénarios pour le désengagement de l’État – à l’exclusion du secteur pétrolier. Ceci passe par le développement d’autres initiatives en faveur du secteur privé, et l’élaboration d’autres plans pour favoriser une plus grande diversification de l’économie tout en concevant des filets solides de protection sociale.

Le document souligne les progrès que le pays a accomplis, en s’attachant à bâtir des institutions et à leur donner une impulsion un an après la fin de la guerre. La banque plaide ainsi en faveur de ce changement, estimant qu’une telle initiative pourrait aider à faire évoluer la situation économique et sociale du pays.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contact: Vincent Castel, Principal Program Coordinator for Tunisia, ORNA: v.castel@afdb.org

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : http://www.afdb.org

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TUNIS, Tunisie, 11 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, ce mercredi 11 septembre, l’octroi de 120 millions de dollars EU sous forme de ligne de crédit (LDC) multisectorielle, et d’un prêt subordonné de 30 millions de dollars EU à Mauritius Commercial Bank (MCB). Cette enveloppe financière permettra à MCB d’augmenter son portefeuille de prêts en devises destinés aux grandes et moyennes entreprises opérant sur l’île Maurice, dans les pays voisins et en Afrique continentale, favorisant ainsi une croissance durable et inclusive grâce au développement du secteur privé dans la région.

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MCB Group est la plus importante institution financière de l’île Maurice, avec plus de 7 milliards de dollars EU d’actifs au total et 940 millions de dollars EU environ en fonds propres. Fondé il y a 175 ans, le groupe est une institution financière régionale respectée, avec des filiales à Madagascar, au Mozambique, aux Seychelles et aux Maldives. Doté de bureaux de représentation à Paris et Johannesburg, MCB est aussi présent, grâce à ses associés, à la Réunion et à Mayotte. Son portefeuille continental comprend des opérations dans plusieurs pays d’Afrique.

L’enveloppe financière ainsi octroyée aidera MCB à répondre à ses besoins de financement en devises et à renforcer sa base de capital, tout en lui permettant de mettre œuvre le plan de croissance de son activité continentale. MCB pourra également offrir des financements pour des projets à long terme qui bénéficieront aux pays membres régionaux où le groupe est impliqué, ou en participant à des transactions syndiquées en mettant l’accent sur des projets dans des secteurs clés et qui respectent la croissance verte et les critères de croissance inclusive.

La facilité financière proposée est dans le droit fil de la stratégie du gouvernement mauricien pour 2012-2015, qui vise à accroître et à diversifier le secteur privé, ainsi qu’à développer le secteur financier. Aussi, devrait-elle avoir des impacts positifs sur le développement du secteur privé et la création d’emplois. Elle favorisera également une hausse des impôts et des recettes publiques sur le continent, notamment en Afrique orientale et australe. En outre, les produits de l’enveloppe financière bénéficieront aux projets susceptibles d’avoir de forts impacts sur le développement et la promotion de l’intégration régionale en Afrique.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contacts :

Sabrina Hadjadj Aoul, chargée de communication, T. +216 71 10 26 21 / C. +216 98 70 98 43 / s.hadjadjaoul@afdb.org

Salah Babale, chargé d’investissement, T. +216 71 10 23 43/ s.babale@afdb.org

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’information : j.mp/AfDB_Media

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MAPUTO, Mozambique, 9 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ —

Une nouvelle publication qui met en évidence les domaines critiques nécessitant interventions et investissements

Aujourd’hui, l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) (http://www.agra.org) lance son premier rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique.

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Le Rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique examine en profondeur la chaîne de valeur des cultures vivrières – de la salle de classe, au champ et puis au marché – dans 16 pays de par le continent.

Le rapport fait le recueil de données et d’analyses provenant de plus de 15 organisations nationales et internationales, notamment les ministères de l’agriculture, la Banque mondiale, l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture et le Fonds international pour le développement de l’agriculture. Il restitue des données dans un format accessible et cohérent, en dégageant un point de repère par rapport auquel on peut suivre l’évolution de l’agriculture en Afrique.

L’édition inaugurale du Rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique se concentre sur les cultures vivrières telles que les céréales et tubercules, dont environ 75% sont produites en Afrique et non importées.

Le rapport révèle que:

• Quoi qu’un certain nombre de pays investissent massivement dans la R&D et développent leur secteur agricole, d’autres sont à la traîne, au détriment de la sécurité alimentaire. En termes de personnel affecté à la recherche agricole, l’Afrique affiche la capacité la plus faible à l’échelle mondiale, avec à peine 70 chercheurs par million d’habitants (à la différence des Etats-Unis et du Japon qui en comptent 2.640 et 4.380, respectivement).

• La baisse de la fertilité des sols menace les rendements et le développement agricoles dans un certain nombre de pays. Alors que le prix moyen des engrais livrés aux exploitations agricoles aux Etats-Unis coûte 226 $ EU la tonne, il se tient à 414 $ EU la tonne en Zambie.

• Les lois et réglementations nationales et régionales obsolètes entravent le développement des marchés semenciers en Afrique. La durée moyenne du processus d’homologation des semences est d’environ trois ans dans la plupart des pays d’Afrique sub-saharienne.

• Les importations alimentaires bon marché et subventionnées affaiblissent progressivement les marchés agricoles africains, ce qui est exacerbé par les difficultés d’accès au crédit, les restrictions commerciales et les coûts de transport élevés. Bien que l’agriculture représente jusqu’à 40% du PIB dans certains pays africains, seulement 0,25% des prêts bancaires sont orientés vers les petits exploitants agricoles.

• Les femmes, qui représentent la majorité des petits exploitants agricoles en Afrique, sont fortement défavorisées dans les régimes actuels de droits fonciers. Cela réduit leur capacité d’accès au crédit, aux technologies et aux services agricoles. Les données mettent en exergue le fait qu’il est cinq fois moins probable que les femmes possèdent des terres par rapport aux hommes.

Dans l’allocution liminaire qu’il a prononcé pour lancer le rapport, M. Strive Masiyiwa, vice-président du Conseil d’administration de l’AGRA, a affirmé: «Si nous voulons réussir à déclencher une révolution verte en Afrique, il faut que nous déterminions et comprenions les domaine où nous faisons des progrès, mais aussi ceux où nous sommes à la traine. Pour la première fois, le Rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique nous trace le grand tableau et nous permet de faire des comparaisons entre les pays. Il fournit des données indispensables et fiables qui, nous l’espérons bien, conduiront à l’élaboration de politiques plus éclairées et à un niveau plus élevé de redevabilité».

S’exprimant à l’occasion du lancement du rapport dans les marges du Forum sur la révolution verte en Afrique à Maputo, au Mozambique, Jane Karuku, présidente de l’AGRA, a déclaré que «Le Rapport sur l’état de l’Agriculture en Afrique est publié à un moment charnière pour le continent. Dix ans après la Déclaration de Maputo, on peut reconnaître des progrès importants, mais il faut aussi faire la lumière sur les domaines où il faut des interventions et investissements urgents. Cette nouvelle ressource permettra de guider les décideurs à canaliser ressources et efforts, de sorte à avoir le plus grand impact sur la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté ».

D’après David Ameyaw, Directeur en charge des stratégies, suivi et évaluation à l’AGRA et l’un des principaux auteurs du rapport: «Ce rapport marque le début d’un projet ambitieux visant à consolider des données fiables et accessibles sur l’agriculture en Afrique. Il existe des lacunes considérables dans notre connaissance du secteur agricole – il faut que les gouvernements, instituts nationaux de recherche, mais aussi les acteurs du secteur privé recueillent et partagent des données ouvertement. Notre objectif est d’étendre notre analyse à tous les pays d’Afrique sub-saharienne au cours des deux prochaines années ».

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA).

Contact:

Anne Wangalachi

awangalachi@agra.org

+258 84 27 42 898 (Portable – Mozambique)

+254 736 230 600 (Portable – Kenya)

Caroline Boin

caroline.boin@portland-communications.com

+258 84 784 3230 (Portable – Mozambique)

Pour de plus amples renseignements:

Pour lire le compte rendu analytique et le rapport intégral, veuillez visiter le site web : http://www.agra.org

A propos de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA)

L’AGRA (http://www.agra.org) est un partenariat dynamique œuvrant sur tout le continent africain en vue d’aider les millions de petits exploitants agricoles et leurs familles à se sortir de la pauvreté et de la famine. Les Programmes de l’AGRA proposent des solutions pratiques dont le but est d’augmenter la productivité agricole et les recettes des pauvres, tout en protégeant l’environnement. L’AGRA préconise les politiques qui appuient son œuvre, à tous les maillons principaux de la chaîne de valeur agricole en Afrique, que ce soit au niveau des semences, de la fertilité des sols, de l’eau, des marchés et de la formation agricole.

Le conseil d’administration de l’AGRA est présidé par Kofi A Annan, ancien Secrétaire général des Nations Unies. Mme Jane Karuku, ancienne Directrice générale adjoint et Secrétaire générale de Telkom Kenya, est la présidente de l’AGRA. Avec l’appui de la Fondation Rockefeller, la Fondation Bill & Melinda Gates, le Département britannique pour le développement international, l’USAID et d’autres bailleurs de fonds, l’AGRA intervient sur l’ensemble de l’Afrique sub-saharienne à partir de ses bureaux à Nairobi, Kenya, et à Accra, Ghana.

Site Web: http://www.agra.org

Facebook: https://www.facebook.com/pages/AGRA-Alliance/316397825040213

Twitter: @AGRAAlliance

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Nigerian Stock Exchange (NSE), the nation’s bourse, is moved to target the small and medium enterprises (SMEs) for listing, in a bid to bring access to fund to the sub-sector following last week’s official launch of Alternative Securities Market (ASeM) for emerging companies with high potential for growth in Nigeria. In Nigeria today, the growth of SMEs is being hampered largely by lack of and/or high cost of funding as well as multiple taxation, including various government related levies.

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Marrakesh, 09 octobre 2014 (CEA) – Les experts en changement climatique présents à Marrakech viennent de réaffirmer la capacité de l’Afrique à se nourrir aujourd’hui et dans l’avenir sans organismes génétiquement modifiés.

Cependant, pour que ce rêve se réalise plusieurs conditions doivent être remplies selon ces experts : La technologie doit être accessible et abordable pour les agriculteurs, leurs financements agricoles faciles, et l’accès aux marchés doit aussi être garanti.

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Marrakesh, 09 octobre 2014 (CEA) – « Pas de développement sans énergie, la problématique s’impose au continent de manière impérieuse ! » Le ton a été donné ce 09 octobre 2014 par El Mostafa Jaméa, Expert en énergies renouvelables et changement climatique. C’était au cours d’une discussion sur le profit à tirer des opportunités technologiques d’énergies renouvelables dans la chaîne de valeur agricole. Selon ses chiffres, 31 % à peine des populations vivant au sud du Sahara ont accès à l’électricité. Dans les zones rurales, le taux est de 14%.

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One only needs to pick up a magazine or leading newspaper to read about innovations that are sweeping across Africa. From M-Pesa, a mobile money transfer service invented in Kenya that has revolutionized African banking practices, to South Africa hosting the Square Kilometer Array, the world’s largest and most powerful radio telescope ever constructed. This is quite different from common perception. Should Africa’s attainments come as a surprise? Not really! By Carlos Lopes

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TUNIS, Tunisie, 7 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) va appuyer les efforts du Sénégal pour protéger le lac de Guiers, situé dans le nord du pays, au moyen d’un prêt et d’une subvention totalisant 24,42 millions de dollars US destinés à financer le rétablissement de ce lac.

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Le Projet de restauration des fonctions écologiques et économiques du lac de Guiers (PREFELAC), qui a été approuvé le mercredi 4 septembre à Tunis par le Conseil d’administration du Groupe de la Banque, vise à rétablir les conditions optimales pour le fonctionnement normal de ce plan d’eau.

Plus particulièrement, le projet vise à rétablir l’hydraulicité du lac en améliorant sa disponibilité annuelle en eau, actuellement de 1,2 milliards de m3, pour la porter à 2,1 milliards d’ici à 2017. L’opération permettra aussi la remise en eau de la Réserve spéciale d’avifaune de Ndiael.

Se situant dans l’axe des cadres de planification stratégique du Sénégal, le projet vise à réaliser les objectifs de la Stratégie nationale de développement économique et sociale (SNDES 2013-2017), notamment ceux relatifs à l’environnement et au développement durable.

Il rendra possible la réalisation des objectifs du Plan d’action pour la gestion intégrée des ressources en eau (PAGIRE 2007-2015), qui porte sur l’acquisition de connaissances et l’élaboration de stratégies en matière de gestion des ressources en eau.

Le projet cadre avec les deux objectifs de la Stratégie décennale 2013-2022 de la Banque, dans le cadre de la restauration et du développement des ressources naturelles d’écosystèmes qui viendront renforcer durablement la résilience et la productivité de systèmes agricoles au profit de communautés rurales pauvres. Par ailleurs, il intéressera le Pilier II du Document de stratégie de pays pour le Sénégal (2010-2015), et plus particulièrement son sous-pilier consacré aux infrastructures de base (eau et assainissement, et gestion des ressources naturelles).

Des partenaires tels que l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), le Fonds mondial pour l’environnement (FEM), l’Inspection régionale des eaux et forêts (IREF) et Environnement et développement en Afrique (ENDA), parmi d’autres, vont apporter un appui technique et matériel au projet.

Les résultats attendus de ce projet sont les suivants : l’amélioration de l’accès à l’eau pour plus de 4 millions de personnes dans le pays et près d’un million de têtes de bétail ; la valorisation d’au moins 30 000 hectares de terres irrigables et de 20 000 hectares de zones humides portant des habitats naturels remarquables ; l’accroissement des bénéfices directs tirés de l’élevage dans la zone du projet, qui atteindront au moins 530 millions de FCFA par an ; l’accroissement de la production halieutique qui passera de 238 à 486 tonnes par an ; la création de plus de 3 000 emplois ruraux au profit de jeunes et de femmes, dont au moins 100 emplois verts ; le retrait de la Réserve de Ndiael de la liste de Montreux (1).

Ces résultats vont bénéficier à plus de 200 000 personnes situées dans la zone d’intervention du projet et 3 millions de personnes vivant à Dakar et dans d’autres villes et villages de l’intérieur du pays utilisant le réseau d’adduction d’eau connecté au lac.

Le coût total du projet est estimé à 28,32 millions de dollars US. Il sera financé au moyen d’un prêt de 22,72 millions de dollars US de la BAD (80,3 %), d’une subvention de 1,30 million de dollars US du FEM (4,6 %), et d’une contribution gouvernementale de 4,29 millions de dollars US (15,1 %).

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

(1) Le Registre de Montreux est une liste des sites Ramsar dont les caractéristiques écologiques ont été, sont en train ou sont susceptibles d’être modifiées par suite d’évolutions technologiques, de pollution ou d’autres interventions humaines.

Contact : Soulèye KITANE, Rural Development & Environmentalist Expert s.kitane@afdb.org

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : http://www.afdb.org

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ABUJA, Nigeria, 4 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — African Exchange Holdings (AFEX), une holding panafricaine fondée par Tony O. Elumelu, président de Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com), Nicolas Berggruen, président de Berggruen Holdings, et Jendayi Frazer, présidente de 50 Ventures, pour établir des bourses de marchandises à travers l’Afrique, a signé aujourd’hui un Protocole d’accord (PA) avec le Ministère fédéral de l’Agriculture du Nigeria en vue de créer un système de reçus d’entrepôt innovant qui permettra aux agriculteurs et aux coopératives nigérianes de conserver en toute sécurité leurs productions dans des entrepôts accrédités.

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Photo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/11-2.jpg

Le Dr Akinwumi Adesina, Commandeur de l’Ordre du Nigeria, Ministre de l’Agriculture transformationnel du Nigeria, a déclaré : « Renforcer les marchés agricoles est crucial pour diversifier l’économie du Nigeria. Notre partenariat avec AFEX contribuera à améliorer l’accès des agriculteurs aux marchés, à réduire les pertes post-récoltes, à stabiliser les prix et à augmenter leurs revenus. L’agriculture se modernise rapidement au Nigeria et le développement des systèmes de reçus d’entrepôt soutiendra l’établissement d’une bourse de marchandises agricoles florissantes au Nigeria. »

M. Elumelu, président d’AFEX Holdings, a affirmé : « Nous sommes ravis de travailler avec le gouvernement nigérian sur ce projet pour offrir un investissement transformationnel et durable au secteur agroalimentaire du pays. Cette initiative est une étape vers l’autonomisation financière de davantage d’agriculteurs et pour assurer que l’agriculture est non seulement commercialement viable, mais aussi un contributeur positif fort à l’économie nigériane. Cela s’appuie sur l’expérience et la réussite de notre filiale – East Africa Exchange – au Rwanda, qui est devenue un acteur majeur du développement agroalimentaire sur tout le continent. »

Il a ajouté : « Mes associés et moi-même sommes fortement encouragés par la transformation du secteur agricole nigérian mené par le Dr Adesina et nous voulons soutenir le gouvernement fédéral dans sa démarche innovante. »

Nicolas Berggruen, fondateur et président de Berggruen Holdings, a déclaré : « L’agriculture en Afrique est la clé de la prospérité du continent. Spécifiquement pour le Nigeria, nous investissons dans l’infrastructure nécessaire pour garantir le flux de marchandises des fermes vers les marchés locaux, régionaux et mondiaux.

Les fermiers nigérians peuvent désormais utiliser des reçus pour leur production comme caution d’emprunt. Cela permettra de contrôler la volatilité des prix due à la disponibilité des stocks-tampons, et aux agriculteurs de vendre à meilleur prix. La phase pilote de deux ans du système de reçus d’entrepôt couvrira sept états, la plupart situés au nord du Nigeria, où l’agriculture est de loin le plus important secteur économique – Kano, Kaduna, Katsina, Zamfara, Kwara, Gombe et Oyo – et débutera en octobre 2013.

Le Ministère fédéral de l’Agriculture soutiendra le système de reçus d’entrepôt en créant un environnement favorable essentiel à sa réussite, et fournira également l’infrastructure des entrepôts.

Jendayi Frazer, ancienne secrétaire d’État adjointe aux Affaires africaines, et Directrice associée de l’AFEX, a expliqué : « Le système de reçus d’entrepôt contribue à améliorer la sécurité alimentaire dans l’ensemble du Nigeria. Il donnera non seulement aux agriculteurs et aux coopératives un meilleur accès aux marchés en reliant leurs productions aux acheteurs à grande valeur, mais génèrera aussi des profits plus élevés pour les parties prenantes. AFEX est persuadée que le système électronique de reçus d’entrepôt et des activités d’entreposage améliorées constitueront un tremplin pour une bourse de marchandises active au Nigeria. »

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

À propos d’AFEX

Africa Exchange Holdings (AFEX) est une société de portefeuille cofondée par Heirs Holdings, Berggruen Holdings et 50 Ventures, en association avec The Tony Elumelu Foundation et le Berggruen Institute on Governance. Son objectif est de développer un réseau de bourses de marchandises dans toute l’Afrique pour transformer les dynamiques commerciales et assurer de plus hauts revenus aux agriculteurs.

Pour plus d’informations, veuillez contacter :

Moky Makura

Directrice du marketing et des communications d’entreprise

Heirs Holdings Ltd

E-mail : moky.makura@heirsholdings.com

Téléphone : +234 (0)1 277 4641

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SINGAPORE, Singapore, 4 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — DHL (http://www.dhl.com), qui fait partie de Deutsche Post DHL, leader mondial de services de courrier et de logistiques, a annoncé aujourd’hui la célébration annuelle de la journée mondiale du bénévolat (Global Volunteer Day – GVD) 2013. Au cours de dix prochains jours, les employés du groupe DHL en Asie-Pacifique, au Moyen-Orient et en Afrique, en collaboration avec leurs partenaires commerciaux et leurs clients, participeront à des programmes de bénévolat communautaires dans toutes ces régions. En 2012, grâce à ce programme de bénévolat des employés, 62 000 bénévoles dans environ 120 pays dans le monde entier ont participé à plus de 1 000 programmes qui ont profité directement aux populations locales.

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DHL a aussi annoncé que la journée mondiale du bénévolat, traditionnellement organisée tous les ans en septembre et pour une durée d’une semaine, a désormais été étendue à un programme sur toute l’année, dans le but d’élargir la participation aux activités de bénévolat au sein des communautés dans lesquelles la société opère.

Avec près de 285 000 collaborateurs et des activités dans plus de 220 pays et territoires et grâce au soutien actif de l’entreprise au bénévolat des employés, DHL s’est donné pour mission d’exercer un impact majeur partout dans le monde.

« DHL a toujours pris une part active au soutien de ces communautés où nous vivons et travaillons. Rien que l’année dernière, nos employés ont participé à plus de 40 programmes, pour venir en aide à plus de 28 000 bénéficiaires. Aujourd’hui, grâce à l’extension de notre programme mondial de bénévolat, nous espérons mobiliser davantage de bénévoles, et atteindre ainsi les nombreuses autres collectivités qui ont besoin d’aide dans toute la région », a affirmé Charles Brewer, directeur général de DHL Express en Afrique subsaharienne.

« L’année dernière, dans le cadre de notre journée mondiale du bénévolat, nous avons pu renforcer notre partenariat mondial avec SOS-villages d’enfants à Nairobi et à Mombasa et prendre part à des activités communautaires. Les objectifs principaux des projets, qui consistaient à nettoyer la communauté ainsi que des initiatives d’éducation, ont été accomplis avec un très grand succès et nous sommes très fiers de la passion de nos volontaires pour les services communautaires », a déclaré Roger Olsson, président-directeur général de DHL Global Forwarding en Afrique subsaharienne. « Cette année, avec la mise en place de notre initiative à long terme, nous serons en mesure de faire une réelle différence dans la vie des habitants de notre communauté. C’est ce qui définit essentiellement l’esprit de DHL. »

« La philosophie d’entreprise de DHL est fondée sur la prémisse selon laquelle les collectivités saines sont bénéfiques pour les entreprises et leur prospérité. L’extension de notre programme de bénévolat est le reflet de notre engagement visant à rendre aux communautés africaines où nous sommes présents depuis 1978 », a expliqué Paul Graham, président-directeur général de la chaîne d’approvisionnement dans les zones Asie-Pacifique, Moyen-Orient et Afrique de DHL. Il a ajouté : « Tandis que les membres de notre équipe donnent de leur temps, de leurs talents et des ressources financières pour soutenir des causes charitables jour après jour, nous pouvons apporter une contribution significative dans l’exploitation de nouvelles possibilités dans nos communautés. »

Introduite en Asie-Pacifique en 2008, la journée mondiale du bénévolat a été depuis étendue aux Amériques, au Moyen-Orient, à l’Afrique et à l’Europe, et continue de tirer parti de sa réussite par l’implication d’un plus grand nombre d’employés et de projets communautaires. Mené en tant que programme permanent, les équipes locales organisent et participent à des activités récurrentes avec des organismes bénéficiaires et/ou partenaires qui leur apportent un développement durable important. Ces programmes viennent s’ajouter aux programmes de base de l’entreprise : GoGreen, GoHelp et GoTeach.

Par ailleurs, Deutsche Post DHL soutient la participation volontaire des salariés à travers le « fonds de responsabilité pour les conditions de vie ». Deux fois par an, les employés peuvent demander un soutien financier pour leurs projets de l’année suivante. Le montant de l’aide accordée dépend du temps que l’employé a consacré au projet. En 2012, l’entreprise a soutenu 104 projets impliquant plus de 9 000 employés dans 48 pays qui ont consacré volontairement 61 000 heures de leurs temps à des projets locaux. En collaboration avec les trois programmes de responsabilité des entreprises, le programme de bénévolat des employés fait partie intégrante de la stratégie en matière de responsabilité d’entreprise sous la devise « Responsabilité au quotidien ».

Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour Deutsche Post DHL.

Contact Presse :

DHL en Asie-Pacifique & EEMOA

Communications institutionnelles et responsabilité

Anita Gupta

Tél. : +65 6771 3333

Fax : +65 6771 3322

E-mail: apeemeamediarelations@dhl.com

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DHL – The Logistics company for the world

DHL est le leader mondial du marché dans l’industrie de la logistique et « The Logistics company for the world » (La société de logistique pour le monde entier). DHL engage son savoir-faire dans l’express international, le fret aérien et maritime, le transport routier et ferroviaire, la logistique contractuelle et les services de courrier international pour ses clients. Forte de 275 000 employés et d’un réseau mondial composé de plus de 220 pays et territoires, l’entreprise offre aux clients une qualité de service supérieure et des connaissances locales pour satisfaire leurs exigences en matière de chaîne d’approvisionnement. DHL accepte sa responsabilité sociale en soutenant la protection du climat, la gestion des catastrophes et l’éducation.

DHL fait partie du Groupe Deutsche Post DHL. Le Groupe a généré un chiffre d’affaires de plus de 55 milliards d’euros en 2012.

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LAGOS, Nigeria 3 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — United Bank for Africa Plc (UBA) (http://ubagroup.com/), la banque panafricaine présente dans 19 pays d’Afrique ainsi qu’à New York, Londres et Paris, annonce le lancement de Project Alpha – la prochaine étape de transformation stratégique du groupe.

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Depuis [8] ans, UBA exécute une stratégie dédiée d’expansion locale, régionale et mondiale, dont la mise en œuvre a permis au groupe de se transformer d’un acteur national en une institution de renommée internationale. Project Alpha est une feuille de route de 3 ans décrivant des initiatives de transformation clés, conçues pour consolider le positionnement stratégique du groupe et saisir pleinement les opportunités découlant de la renaissance économique de l’Afrique et de l’unique plateforme du groupe.

Project Alpha se concentre sur l’exploitation de tous les aspects de l’empreinte, de la gamme de produits et des capacités opérationnelles du groupe, permettant un engagement vis-à-vis de la transformation du service à la clientèle, une croissance de la part de marché, la mise en œuvre d’initiatives de services bancaires électroniques essentiels dans tous les segments, le développement des capacités de financement des opérations institutionnelles et commerciales et un investissement significatif dans le capital humain représenté par les plus de 25 000 employés d’UBA.

Une série de nominations à des postes de haut niveau souligne l’engagement du groupe dans le cadre de Project Alpha. M. Apollos Ikpobe a été nommé au poste de directeur général adjoint des services bancaires nationaux et Mme Obi Ibekwe au poste de directrice exécutive des ressources humaines et du service à la clientèle. Ces deux nominations ont été approuvées par la Banque centrale du Nigeria (CBN).

M. Ikpobe, qui était jusqu’à récemment directeur exécutif chez Zenith Bank, un poste qu’il occupait depuis 7 ans, apporte plus de 21 ans d’expérience dans le secteur bancaire nigérian. M. Ikpobe sera responsable du développement des activités nationales d’UBA au Nigeria. Sa nomination vient rehausser les compétences de l’actuel directeur général adjoint, M. Kennedy Uzoka, responsable des ressources et de la trésorerie.

Mme Ibekwe, nouvelle directrice exécutive des ressources humaines et du service à la clientèle, a connu une carrière marquée de succès chez Zenith Bank Plc, où elle était responsable de la gestion des ressources humaines, des services à la clientèle et de la gestion du risque de crédit. Forte d’une riche expérience dans les domaines du conseil, des services bancaires et du service à la clientèle, elle jouera un rôle essentiel dans la direction de la culture d’excellence du service renouvelée chez UBA. Sa nomination porte à cinq le nombre de femmes directrices au sein du conseil d’administration du groupe UBA.

Les autres nominations clés également annoncées incluent celle de M. Rasheed Adegoke au poste de directeur général en charge des technologies de l’information du groupe. M. Adegoke rejoint UBA de First Bank of Nigeria, où il était DSI, un poste qu’il a occupé pendant plus de 13 ans au sein de différentes institutions dans le secteur nigérian des services financiers. Stratège en technologies et en processus, il possède une expertise pratique dans les domaines de la conception et de la fourniture de technologies d’information hautement performantes et de solutions d’amélioration des processus administratifs visant à résoudre des problèmes opérationnels complexes.

L’un des aspects essentiels de l’initiative Project Alpha est l’accent placé sur UBA Afrique, dont la contribution représente actuellement 20 % du résultat du groupe et devrait atteindre 50 % à l’horizon 2016. Afin d’atteindre cet objectif, le groupe a décidé de renforcer son équipe de haute direction africaine.

Emmanuel Nnorom, ancien directeur exécutif des finances et de la gestion du risque chez UBA, a été nommé au poste de PDG d’UBA Afrique.

Les autres nominations à des postes de haut niveau au sein d’UBA Afrique incluent Mme Amie Sow, directrice générale d’UBA Sénégal, M. Demola Ogunfeyimi, directeur général d’UBA Tanzanie, M. Mamadou Sanon, directeur général d’UBA Gabon, M. Martin Che, directeur général d’UBA Congo Brazzaville, M. Marcel Bitang, directeur général d’UBA RDC, M. Stanley Ugwueze, directeur général d’UBA Zambie, Mme Abiola Bawuah, directrice générale adjointe d’UBA Ghana, M. Benedict Nklama, directeur exécutif d’UBA Kenya, M. Wilbrod Owor, directeur exécutif d’UBA Ouganda et M. Chinedu Obeta, directeur exécutif d’UBA Sierra Leone.

« UBA est en mesure de recruter les meilleurs talents du secteur bancaire africain et nous sommes fiers de pouvoir fournir une plateforme dynamique qui permet à ces Africains de contribuer à la transformation de notre continent », a déclaré M. Phillips Oduoza, directeur général du groupe/PDG d’UBA.

Et d’ajouter : « Nos ressources humaines demeurent notre plus grande richesse et nous allons poursuivre nos efforts de remaniement et de ressourcement afin d’atteindre et de dépasser les objectifs de Project Alpha. »

« De façon plus générale, Project Alpha nous permet de nous appuyer sur les forces existantes de notre franchise, mais démontre surtout que nous allons continuer à nous réinventer à l’avenir, en nous assurant que nous générons et délivrons le maximum de valeur pour nos clients, nos actionnaires et notre personnel », a-t-il expliqué.

Distributed by African Press Organization on behalf of United Bank for Africa Plc (UBA).

United Bank for Africa Plc est l’une des plus grandes institutions financières d’Afrique, proposant des services bancaires à plus de 7 millions de clients à travers plus de 700 succursales dans 19 pays africains. Avec une présence à New York, Londres et Paris, UBA relie les peuples et le monde des affaires à l’Afrique par ses services bancaires aux particuliers et aux clients institutionnels. Elle offre également des services de financement des opérations commerciales et dispose de solutions innovantes en matière de paiements transfrontaliers.

Pour plus de renseignements :

Ramon Nasir

Responsable médias

United Bank for Africa Plc | UBA House

E-mail : ramon.nasir@ubagroup.com

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WASHINGTON, 3 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — IFC, un membre du groupe de la Banque mondiale, publie aujourd’hui le détail de ses activités en Afrique subsaharienne, montrant un impact important grâce à un volume record d’investissements et de services-conseil pendant l’année budgétaire 2013.

IFC a engagé la somme de 5,3 milliards de dollars dans de nouveaux investissements et dispensé des services-conseil d’une valeur de 65 millions de dollars en Afrique subsaharienne au cours de son dernier exercice fiscal. IFC a appuyé les secteurs des infrastructures, de la santé, de l’agro-alimentaire et un éventail d’activités dans des pays affectés par des conflits, et aidé les entrepreneurs africains à bénéficier d’un meilleur accès au financement.

IFC a investi 3,5 milliards de dollars, tirés des comptes propres de la société, et mobilisé 1,8 milliard de dollars engagés par d’autres investisseurs. Au cours de l’exercice budgétaire 2013, IFC a apporté son appui à des projets qui ont permis à 54 000 petites et moyennes entreprises de bénéficier de crédits, et a soutenu 13,7 millions de clients du secteur de la microfinance ; IFC a également contribué à l’amélioration de la santé et de l’éducation en faveur de 360 000 personnes. Les investissements d’IFC dans l’énergie éolienne et autres énergies renouvelables ont permis de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 667 000 tonnes.

Les dépenses d’IFC en matière de services-conseil ont atteint 65 millions de dollars pendant son dernier exercice fiscal. Quarante-deux pays ont pu bénéficier d’un total de 126 projets, dont la valeur est estimée à 217 millions de dollars au cours de la durée de vie des projets. Au cours de l’exercice budgétaire 2013, les projets associés aux services-conseils ont permis d’améliorer l’accès à l’éducation et à l’éclairage pour 1,6 millions de personnes; ils ont permis de créer 27 000 emplois; ont formé des entrepreneurs et connecté des exploitants agricoles aux marchés mondiaux.

Trois nouveaux mandats de partenariat public-privé ont été conclus avec succès, aidant à fournir des services de santé à 360,000 personnes au Lesotho et au Nigéria et de l’électricité à 75,000 personnes au Libéria.

En collaboration avec les gouvernements d’Afrique subsaharienne, les services-conseil en matière de climat des investissements d’IFC et de la Banque mondiale ont travaillé à la mise en œuvre de plus de 50 réformes bénéficiant au secteur privé dans 17 pays. En Ouganda par exemple, les réformes relatives à l’octroi de licences ont permis au secteur privé d’économiser 15,5 millions de dollars. Selon le rapport Doing Business 2013, sur les 50 économies de la planète qui réalisent le plus de progrès en matière de réglementation des affaires concernant les entreprises nationales depuis 2005, un tiers se trouvait en Afrique subsaharienne.

« L’augmentation constante des investissements et services-conseil IFC traduit notre engagement en faveur du développement du secteur privé en Afrique subsaharienne », a déclara Oumar Seydi, le directeur d’IFC pour l’Afrique de l’Est et australe. « Les 5,3 milliards de dollars engagés par IFC dans de nouveaux investissements et les 65 millions de dollars consacrés aux projets de services-conseil d’IFC ont contribué à la croissance économique de l’Afrique, grâce à l’appui fourni aux entrepreneurs et aux exploitants agricoles, à l’amélioration des infrastructures et des services de base et en favorisant le développement des affaires dans des pays en sortir de conflit ».

« En nous concentrant sur le développement du secteur privé en Afrique dans des secteurs clés comme la production d’énergie, les transports ou l’agro-alimentaire, nous jouons un rôle actif dans la stimulation de la croissance économique et la création d’emplois dans la région », a pour sa part déclaré Yolande Duhem, directrice d’IFC pour l’Afrique de l’Ouest et centrale. « Nous sommes également convaincus de l’utilité des marchés régionaux en Afrique, et nombre de nos investissements visent à permettre aux entreprises de se développer au-delà de leurs limites nationales ».

Les investissements d’IFC dans le secteur de l’agro-alimentaire en Afrique subsaharienne ont atteint 600 millions de dollars au cours de l’exercice budgétaire 2013. En investissant dans des entreprises telles que la Kenya Tea Development Agency et l’Export Trading Group, IFC permet à 263 000 exploitants agricoles d’Afrique subsaharienne de bénéficier d’opportunités économiques.

Le financement par IFC des projets d’infrastructures et ressources naturelles en Afrique a atteint 1,7 milliard de dollars. La division Infraventure d’IFC a joint ses efforts à ceux de ses partenaires du secteur privé afin d’élaborer des projets de production d’énergie éolienne en Tanzanie et au Kenya. En Afrique de l’Ouest, IFC a investi dans l’agence de sécurité aérienne et a mobilisé des fonds pour le port de Lomé afin de développer le réseau de transport et d’améliorer l’infrastructure commerciale dans la région.

L’assistance fournie dans des situations fragiles et de conflit constitue pour IFC une priorité stratégique en Afrique, et au cours du dernier exercice budgétaire, IFC a fourni des programmes d’appui à la quasi- totalité des économies africaines en sortir de conflit. Le programme en faveur des États touchés par les conflits en Afrique (CASA) d’IFC a permis de fournir des conseils et des financements à huit pays (le Burundi, la République centrafricaine, la Côte d’Ivoire, la République démocratique du Congo, la Guinée, le Liberia, la Sierra Leone et le Sud Soudan). Les programmes menés par IFC dans ces pays ont contribué à renforcer l’implantation du secteur privé et à créer des opportunités et des emplois.

Au cours du dernier exercice budgétaire, l’initiative CASA a été autorisée à se déployer dans tous les États d’Afrique subsaharienne fragiles et affectés par des conflits et concentrera la première phase de son développement sur le Mali, la Somalie et le Zimbabwe.

Grâce à une utilisation innovante de ses opérations de trésorerie, IFC a développé sa capacité à servir ses clients par des financements en monnaie nationale, et a favorisé le développement des marchés obligataires. Au cours de l’exercice budgétaire 2013, IFC a octroyé plus de 350 millions de dollars de prêts en monnaie nationale en Afrique subsaharienne. IFC a émis sa première obligation en Naira nigérians, recueillant 75 millions de dollars pour des investissements dans le secteur privé. IFC travaille avec les autorités de plusieurs pays, y compris le Ghana, le Nigéria et la Zambie sur des programmes qui permettront à IFC d’émettre régulièrement des obligations en monnaie nationale.

L’accent qu’IFC met à favoriser les investissements entre marchés émergents a été renforcé cette année grâce à de nouveaux investissements de type « Sud-Sud » totalisant près de 400 millions de dollars. Il s’agit notamment d’investissements transfrontaliers en Afrique, comme le projet de nouvel hôtel en Côte d’Ivoire du groupe hôtelier Azalai, basé au Mali. Au Nigeria, les financements apportés par IFC ont permis d’appuyer des investissements importants fournis par deux entreprises indonésiennes: l’investissement d’Indorama dans les opérations d’Eleme Fertilizer et de Wings Group au Nigeria.

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TUNIS, Tunisie, 3 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le gouvernement danois a annoncé sa volonté d’apporter une contribution de 10 millions de couronnes danoises (près de 1,8 millions de dollars US) au Fonds pour l’accélération du développement agricole en Afrique (FADA) afin d’activer les investissements en infrastructures agricoles sur le continent.

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Cette contribution a été annoncée le mercredi 28 août à Copenhague par le ministre danois de la Coopération au développement, M. Christian Friis Bach, au cours de la visite du président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org), M. Donald Kaberuka dans le pays.

Le FADA, premier fonds du genre géré par la BAD, a été lancé en vue de stimuler les investissements privés dans les projets d’infrastructure agricole en Afrique subsaharienne. Il est doté de 28,8 millions de dollars US.

Le soutien du gouvernement danois vient en complément des contributions faites par les bailleurs à l’origine de la création du FADA, en particulier l’USAID, qui s’est engagée à apporter 15 millions de dollars, et le gouvernement suédois qui a pris un engagement à hauteur de 10 millions de dollars.

Le Fonds pour l’accélération du développement subventionne le financement des frais initiaux de développement d’un large éventail de projets d’infrastructure agricole s’étendant sur la chaîne de valeur entière, de la production jusqu’à la vente dans les marchés. Le FADA intervient dans des pays qui sont membres de la Nouvelle Alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition. Cette dernière cherche à resserrer les liens entre agriculteurs, marchés et tables du consommateur. La Nouvelle Alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition a été lancée par le Président Barack Obama l’année dernière à l’occasion du sommet du G8. Les six pays suivants en sont membres : le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie, le Ghana, le Mozambique et la Tanzanie. La Nouvelle Alliance soutient les réformes réglementaires axées sur le marché qui sont engagées dans ces six pays, où le secteur privé s’est engagé à hauteur de 3,7 milliards de dollars dans les investissements agricoles.

Au cours de sa visite, M. Kaberuka a assisté à un dîner-débat sur le thème « Croissance en Afrique, Nigéria compris » organisé par la ministre danoise du Commerce et des investissements, Mme Pia Olsen Dyhr, du ministre des Affaires européennes, M. Nick Hækkerup, et du directeur de la Confédération patronale danoise, M. Thomas Bustrup Bustrup.

Il a également eu des discussions avec le ministre danois de la Coopération au développement, M. Christian Friis Bach, sur des questions d’actualité, et notamment sur la situation du développement en Afrique, la reconstitution du Fonds africain de développement, la croissance verte et inclusive, le genre et les États fragiles.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contacts :

Jennifer Ann Patterson

Chargée de communication

Banque africaine de développement

j.patterson@afdb.org/+216.71.10 16 38

Amadou Ba

Chef d’équipe, Fonds pour l’accélération du développement agricole en Afrique

Banque africaine de développement

a.m.ba@afdb.org/ +216 71 10 1788

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : www.afdb.org

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TUNIS, Tunisie, 2 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — La Norv�ge a apport� un soutien financier � la Facilit� africaine de soutien juridique (FASJ) � hauteur de 30 millions de couronnes norv�giennes (pr�s de 4,9 millions de dollars US) � titre de contribution principale au programme de travail de la FASJ pour la p�riode 2013-2014.

Cette convention d�aide a �t� sign�e le jeudi 29 ao�t 2013 � Oslo par Donald Kaberuka, Pr�sident du Groupe de la Banque africaine de d�veloppement (BAD) (http://www.afdb.org/fr/) et Heikki Eidsvoll Holm�s, le ministre norv�gien du D�veloppement international.

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� La Norv�ge entend aider l’Afrique � transformer sa � mal�diction des ressources � en une � b�n�diction des ressources � en appuyant le renforcement des capacit�s des pays africains en mati�re de n�gociation de contrat dans les meilleures conditions. Le but est de leur permettre d�accro�tre leurs revenus et de renforcer leurs �conomies afin de se passer, � terme, de l’assistance ext�rieure � a d�clar� le Ministre.

� Il s�agit �galement d�am�liorer la transparence financi�re des contrats qui joue un r�le crucial dans la mise en lumi�re et l��radication des flux financiers illicites. Chaque ann�e, le montant des fonds qui disparaissent des pays en d�veloppement par des moyens financiers illicites est dix fois plus �lev� que celui qui est re�u sous la forme d’aide et d’assistance au d�veloppement � a-t-il ajout�.

La strat�gie d�cennale du Groupe de la Banque pour la p�riode allant de 2013 � 2022 met l’accent sur la croissance inclusive et la transition vers la croissance verte. Elle est en parfaite ad�quation avec les priorit�s de d�veloppement de la Norv�ge, telles qu’expos�es dans le livre blanc que le gouvernement a r�cemment publi� sur l’�quit� dans la distribution et le partage pour la prosp�rit�. Cette strat�gie accorde une importance particuli�re aux enjeux des �tats fragiles, de l’agriculture, de la s�curit� alimentaire et de l’�galit� de genre.

La Norv�ge a fourni un soutien de 768 millions de couronnes (pr�s de 125,63 millions de dollars US) � la Banque africaine de d�veloppement en 2012.

La FASJ est une organisation internationale �tablie par des gouvernements africains pour leur pr�ter assistance dans la n�gociation de transactions commerciales complexes, la poursuite d’actions litigieuses avec les fonds vautours, et le renforcement des capacit�s. En appuyant la FASJ, la Norv�ge aide les gouvernements africains � consolider leurs positions dans ces domaines.

La FASJ assiste plus particuli�rement les gouvernements dans la conduite des n�gociations complexes touchant aux industries extractives et � leurs infrastructures d’appui. Ses interventions favorisent la conclusion de n�gociations contractuelles � la fois �quitables et �quilibr�es qui servent de fondement � la transformation de richesses naturelles en croissance durable et inclusive. � l’heure actuelle, la FASF soutient des projets dans 20 pays africains. Des demandes d’intervention, notamment de la part d’�tats fragiles soucieux de maximiser les avantages de leurs ressources naturelles, sont en attente.

Distribu� par l�Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de D�veloppement (BAD).

Contact : Stephen R. Karangizi, Directeur, Facilit� africaine de soutien juridique, alsf@afdb.org

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MONROVIA, Liberia, 2 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Ellen Johnson Sirleaf, Présidente de la République du Libéria et Donald Kaberuka, Président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org/fr/), ont lancé, le 2 Septembre 2013 à Monrovia au Libéria, un Panel de haut niveau sur les Etats fragiles. La question centrale à laquelle vont tenter de répondre les panelistes est la suivante : ”Comment pouvons-nous, de façon concrète, construire et consolider la paix et la prospérité des états fragiles d’Afrique?”

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Les conflits et la situation fragile de certains Etats constituent des contraintes majeures au développement de l’Afrique. Alors que la plupart des pays du continent ont connu un taux de croissance économique de 5% au cours de la dernière décennie, les pays fragiles et ceux en conflit n’en ont pas bénéficié. Le PIB par habitant qui est généralement de 945 $ pour les Etats africains ne représente qu’environ un tiers de ce montant, soit environ 333 $ dans les Etats fragiles. Leur relèvement constitue donc l’une des priorités du Groupe de la Banque.

«Avec l’aide de la Présidente Ellen Johnson Sirleaf et un groupe d’experts, nous élaborons une nouvelle approche pour aider ces pays à se relever plus rapidement et minimiser l’impact de leur fragilité sur les pays voisins» a déclaré Donald Kaberuka.

60 participants, en provenance de la République centrafricaine, des Comores, de la Côte d’Ivoire, de la République démocratique du Congo, de la Guinée, de la Guinée Bissau, de la Sierra Leone, de la Somalie, du Soudan du Sud, du Soudan, duTimor-Leste et du Togo ont pris part au lancement de ce Panel de haut niveau. Parmi eux, douze ministres des Finances et de la Planification et de hauts représentants d’Organisations internationales et de la Société civile.

De 2009 à 2011, la Banque africaine de développement a apporté un appui financier d’une valeur de 2,5 milliards de dollars aux États fragiles. Elle développe actuellement une stratégie relative à son engagement sous l’égide du panel de haut niveau sur les États fragiles.

Les Membres du Panel de Haut Niveau

Présidente : Ellen Sirleaf Johnson ;

Sarah Cliffe, Représentant spécial et Directrice du World development Report on conflict, security and development aux Nations Unies ;

Gilbert Fossoun Houngbo, Directeur général adjoint du Bureau International du Travail (BIT) pour les programmes extérieurs et les partenariats ;

Geraldine Frasier-Moleketi, Envoyée spéciale sur les questions de genre à la Banque africaine de développement ;

Dr. Callisto Madavo, Professeur à Georgetown University ;

Dr Greg Mills, Directeur de la Fondation Brenthurst ;

Rakiya Omaar, Directrice d’African Rights;

Dame Barbara Stocking, Présidente du Murray Edwards College, au New College de l’Université de Cambridge.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAD).

Agenda et informations disponibles en cliquant le lien ci-après :

http://www.afdb.org/en/topics-and-sectors/initiatives-partnerships/high-level-panel-on-fragile-states/

Contact medias: Sunita Pitamber via s.pitamber@afdb.org or mikias@coxsi.com

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MAPUTO, Mozambique, 30 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Aggreko (http://www.aggreko.com), en collaboration avec ses partenaires de projet, a célébré l’agrandissement de sa centrale électrique fonctionnant au gaz au Gigawatt Park, à Ressano Garcia, au Mozambique. L’agrandissement de l’installation a été officiellement inauguré par le ministre de l’Énergie, l’Honorable Salvador Namburete, au cours d’une cérémonie qui s’est déroulée aujourd’hui sur le site du projet. L’agrandissement ajoute une capacité supplémentaire de 122 MW à l’installation de Ressano Garcia, élevant la production totale de la centrale à 232 MW.

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La centrale d’Aggreko est entrée en activité en juillet 2012, concrétisant une initiative réellement révolutionnaire visant à construire le premier projet de fournisseur d’électricité indépendant (FEI) transfrontalier temporaire au monde. L’électricité produite sur le site était envoyée directement dans le Pool électrique d’Afrique australe (SAPP), les premiers acquéreurs du projet étant Electricidade de Moçambique (EDM), le service public d’électricité du Mozambique et Eskom, le service public d’électricité d’Afrique du Sud.

Suite au succès de la première phase du projet de Ressano Garcia, Aggreko a annoncé en mars 2013 la signature d’accords avec EDM et NamPower, le service public d’électricité de Namibie, pour fournir 122 MW de plus dans le cadre du projet. Le travail a commencé immédiatement après l’annonce afin de plus que doubler la capacité de production de la centrale. Aggreko ayant conçu et construit l’infrastructure de la centrale pour permettre des augmentations modulaires de sa capacité, l’ajout de cette production d’électricité supplémentaire a été réalisé en seulement 12 semaines.

En utilisant l’infrastructure de transmission régionale exceptionnelle du SAPP, Aggreko fournira désormais de l’électricité générée au Mozambique à trois services publics nationaux, y compris à la Namibie située à plus de 1 500 kilomètres de là. Illustrant la coopération mutuelle entre les services publics nécessaire pour y parvenir, EDM et Eskom joueront un rôle majeur dans la transmission de cette électricité vers la Namibie. EDM transmettra l’électricité par le biais de son réseau vers la frontière sud-africaine où Eskom, au nom de NamPower, en gérera la redistribution jusqu’en Namibie par le biais du réseau sud-africain.

La centrale électrique de Ressano Garcia d’Aggreko est située à la frontière entre le Mozambique et l’Afrique du Sud, à 90 kilomètres au nord-ouest de Maputo, au Gigawatt Park. Le gaz naturel nécessaire à ce projet est fourni par Matola Gas Company SA par le biais de son infrastructure gazière située à Ressano Garcia, et Aggreko produit de l’électricité par le biais d’un accord de sous-concession avec Gigawatt Mozambique SA.

« Ressano Garcia est la plus importante centrale électrique transfrontalière temporaire au monde, avec 232 MW d’électricité produite à partir de gaz et utilisée par trois services publics nationaux », a déclaré David Taylor-Smith, directeur régional d’Aggreko dans la région Europe, Moyen-Orient, Afrique. « Ce projet souligne la précision et la vitesse avec lesquelles Aggreko peut fournir une capacité électrique temporaire à grande échelle, pour aider nos clients à combler les lacunes en matière d’électricité lorsqu’elles surviennent. »

Paulinus Shilamba, directeur général de NamPower, a affirmé : « Cette approche innovante pour garantir un approvisionnement en électricité pour les habitants de Namibie est un bel exemple de l’esprit de la coopération sud-africain. Ce projet unique contribuera fournir une alimentation électrique en Namibie et soutiendra le développement continu du pays. »

Augusto de Sousa Fernando, PDG d’EDM, a ajouté : « Suite au premier projet qu’EDM a rendu possible en jouant son rôle en tant que service public et opérateur de système au Mozambique, nous souhaiterions encore une fois accueillir la seconde phase du projet de la centrale électrique temporaire d’Aggreko à Ressano Garcia, qui aidera EDM et ses partenaires au sein du SAPP à assurer leur service pendant la période de transition jusqu’à ce que nous mettions en place nos installations permanentes au Mozambique. »

Distributed by the African Press Organization on behalf of Aggreko plc.

Contact presse:

Nicholas van Santen

Directeur des RP et des communications

Aggreko EMOA

Tél. : +971 56 682 5978

E-mail : nicholas.vansanten@aggreko.ae

Aggreko

Aggreko plc est le leader mondial des solutions d’énergie temporaire et de régulation de température. Aggreko emploie plus de 5700 personnes opérant à partir de 194 sites. En 2012 nous avons servi des clients dans plus de 100 pays et nous avons réalisé un chiffre d’affaires de près de 1,6 milliards d’Euros (2,5 milliards de Dollars ou 2,0 milliards de Euro). Aggreko plc est inscrit au London Stock Exchange (AGK.L), est membre de l’index FTSE-100, et a son siège social en Ecosse. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site Internet de la société à l’adresse www.aggreko.fr.

Aggreko apporte des solutions pour la fourniture temporaire d’énergie et le froid & climatisation à des clients qui en ont un besoin particulièrement urgent ou pour une période courte. Par exemple, la fourniture d’énergie à un site industriel qui avait besoin d’entretenir son système permanent de production d’électricité, en fournissant en énergie une ville entière en période de pénurie, ou en fournissant les systèmes de production d’électricité et de refroidissement pour un événement sportif majeur. Nous répondons nos clients soit à partir de nos 194 centres de service, que nous appelons « Local Business », soit sur le plan mondial, grâce à notre entité « International Power Projects ».

Dans le cadre du Local business, qui constitue environ la moitié de notre chiffre d’affaires, nous louons notre équipement aux clients qui les exploitent alors par eux-mêmes, bien que nous conservions la responsabilité de son entretien et de sa maintenance. Dans le cadre de « International Power Projects », qui représente environ la moitié de notre chiffre d’affaires, nous agissons comme producteur d’électricité. Nous installons et exploitons des unités de production d’électricité et nous facturons à nos clients à la fois la fourniture de la capacité de production et l’électricité que nous produisons. Nous concevons et fabriquons notre équipement de manière spécifique en fonction de ces exigences dans notre usine de Dumbarton, en Écosse.

Parmi nos clients récents on retrouve les Jeux Olympiques et Paralympiques de Londres 2012, les Jeux Olympiques d’hiver de Vancouver de 2010 et les compagnies publiques d’électricité dans plus de 50 pays parmi lesquels le Royaume-Uni, la France, l’Angola, le Kenya, l’Indonésie, le Bangladesh, le Venezuela, le Chili, le Brésil et les États-Unis.

En 2012 nous avons reçu près de 45,000 retours à nos enquêtes de satisfaction Clients. 70% d’entre eux nous recommanderait à un collègue ou à un ami (note de 9 ou 10 sur 10).

Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site Internet de la société à l’adresse : www.africa.aggreko.com.

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LAGOS, Nigeria 30 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Le véhicule d’investissement panafricain de Tony O. Elumelu, Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com), a annoncé aujourd’hui un investissement conséquent dans Seadrill Mobil Units (Nigeria) Limited, une filiale de l’une des plus importantes sociétés de forage en eau profonde au monde, Seadrill. M. Elumelu a été nommé président du conseil de Seadrill Mobil Units.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/heirs-holdings.jpg

Photo Tony Elumelu: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/tony-elumelu.jpg

Cet investissement est une preuve supplémentaire de la stratégie de M. Elumelu visant à accroître la participation des entreprises africaines dans la chaîne de valeur du gaz et du pétrole, et complète les intérêts existants de la société en matière de production et d’exploration de gaz et de pétrole. Seadrill, la plus importante société de forage en mer au monde, est cotée aux bourses de New York et d’Oslo, opérant la deuxième plus importante flotte en eau très profonde au monde et la plus importante flotte de plateformes haut de gamme de l’industrie avec 7 500 employés dans 15 pays.

À propos de l’investissement, M. Elumelu a déclaré : « Seadrill est un acteur important dans le secteur du pétrole et du gaz, avec une expérience éprouvée, et est l’un des noms les plus respectés de l’industrie. Ce partenariat présente un réel intérêt commercial, réunissant un acteur mondial majeur et un acteur africain de premier plan au sein de l’industrie du gaz et du pétrole. Le développement réussi des gisements de pétrole et de gaz en eau profonde du Nigeria revêt une importance stratégique pour notre pays. Il s’agit d’une part importante de notre approche personnelle visant à créer un investissement à valeur ajoutée synergique dans le secteur de l’énergie, depuis l’extraction au traitement et, peut-être plus important pour le Nigeria, la production industrielle et la production d’électricité. »

M. Elumelu a ajouté : « Ce partenariat ouvre la voie à la poursuite du développement de notre secteur de l’électricité, mené par les talents locaux et devrait servir de modèle pour une participation continue, réelle et indigène, créant un impact à la fois économique et social. »

Le directeur de Seadrill Mobil Units (Nigeria) Limited, Svend Anton Maier, a affirmé : « Le partenariat avec Heirs Holdings crée l’association parfaite entre une expertise technique mondiale, soutenue par une excellence opérationnelle, et une gestion financière intelligente pour le marché nigérian. Il place la société dans une position de leader local et d’acteur réellement indigène. »

Heirs Holdings réalise des investissements exclusifs dans divers secteurs stratégiques à travers l’Afrique. Par le biais de ses filiales Tenoil Petroleum & Energy Services et Transcorp Energy, créée pour diriger l’approche de Transcorp sur le secteur de l’électricité, Heirs Holdings s’est déjà largement engagée dans le secteur de l’exploration et la production de pétrole, par le biais de l’acquisition d’OPL 281, un gisement pétrolier à terre avec des réserves de gaz importante, par le développement par Transcorp et Tenoil d’OPL 2008, qui devrait entrer en production en 2014.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

Pour plus de renseignements :

Moky Makura

Directrice du marketing et des communications d’entreprise

Heirs Holdings

E-mail : moky.makura@heirsholdings.com

Téléphone : +234-1-277-4641

À propos de Heirs Holdings

Heirs Holdings est une société d’investissement par actions panafricaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.

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LAGOS, Nigeria 30 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Le véhicule d’investissement panafricain de Tony O. Elumelu, Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com), a annoncé aujourd’hui un investissement conséquent dans Seadrill Mobil Units (Nigeria) Limited, une filiale de l’une des plus importantes sociétés de forage en eau profonde au monde, Seadrill. M. Elumelu a été nommé président du conseil de Seadrill Mobil Units.

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Photo Tony Elumelu: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/tony-elumelu.jpg

Cet investissement est une preuve supplémentaire de la stratégie de M. Elumelu visant à accroître la participation des entreprises africaines dans la chaîne de valeur du gaz et du pétrole, et complète les intérêts existants de la société en matière de production et d’exploration de gaz et de pétrole. Seadrill, la plus importante société de forage en mer au monde, est cotée aux bourses de New York et d’Oslo, opérant la deuxième plus importante flotte en eau très profonde au monde et la plus importante flotte de plateformes haut de gamme de l’industrie avec 7 500 employés dans 15 pays.

À propos de l’investissement, M. Elumelu a déclaré : « Seadrill est un acteur important dans le secteur du pétrole et du gaz, avec une expérience éprouvée, et est l’un des noms les plus respectés de l’industrie. Ce partenariat présente un réel intérêt commercial, réunissant un acteur mondial majeur et un acteur africain de premier plan au sein de l’industrie du gaz et du pétrole. Le développement réussi des gisements de pétrole et de gaz en eau profonde du Nigeria revêt une importance stratégique pour notre pays. Il s’agit d’une part importante de notre approche personnelle visant à créer un investissement à valeur ajoutée synergique dans le secteur de l’énergie, depuis l’extraction au traitement et, peut-être plus important pour le Nigeria, la production industrielle et la production d’électricité. »

M. Elumelu a ajouté : « Ce partenariat ouvre la voie à la poursuite du développement de notre secteur de l’électricité, mené par les talents locaux et devrait servir de modèle pour une participation continue, réelle et indigène, créant un impact à la fois économique et social. »

Le directeur de Seadrill Mobil Units (Nigeria) Limited, Svend Anton Maier, a affirmé : « Le partenariat avec Heirs Holdings crée l’association parfaite entre une expertise technique mondiale, soutenue par une excellence opérationnelle, et une gestion financière intelligente pour le marché nigérian. Il place la société dans une position de leader local et d’acteur réellement indigène. »

Heirs Holdings réalise des investissements exclusifs dans divers secteurs stratégiques à travers l’Afrique. Par le biais de ses filiales Tenoil Petroleum & Energy Services et Transcorp Energy, créée pour diriger l’approche de Transcorp sur le secteur de l’électricité, Heirs Holdings s’est déjà largement engagée dans le secteur de l’exploration et la production de pétrole, par le biais de l’acquisition d’OPL 281, un gisement pétrolier à terre avec des réserves de gaz importante, par le développement par Transcorp et Tenoil d’OPL 2008, qui devrait entrer en production en 2014.

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À propos de Heirs Holdings

Heirs Holdings est une société d’investissement par actions panafricaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.

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Kigali, 27 August 2013 (ECA) – Ambassadors and senior government officials representing Democratic Republic of Congo (DRC), Kenya, Rwanda, Somalia, Tanzania and Uganda met with the Director and staff members of ECA, Kigali Office to discuss the groundings for the eighteenth Eastern African Session of the Intergovernmental Committee of Experts (ICE) to be held in Kinshasa, DRC in February 2014. The participants to the meeting held in Kigali on 27 August, resolved to deepen reflections on how to promote National Champions and the role of Foreign Direct Investments (FDI) in establishing local firms and fostering structural transformation agendas. 

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Aug 30 (Reuters) – Nigeria’s securities regulator is investigating pan-African lender Ecobank over an alleged misstatement of its 2012 performance, a source at the Securities and Exchange Commission (SEC) said on Friday.Nigeria’s SEC held meetings with Ecobank’s board directors on Aug. 6 to discuss the issue, which was raised by a suspended former head offinance at the bank, the source said, but did not elaborate as to what the bank was accused of misstating.

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JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 29 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Ann Cairns, présidente des marchés internationaux chez MasterCard et Peter Schlebusch, dirigeant de Standard Bank Group, célèbrent la signature d’un accord renforçant la relation entre MasterCard et Standard Bank Group pour cinq années supplémentaires.

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Photo : http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/mastercard-andstandard-bank-signing_fr.jpg

Cet accord permettra d’élargir les responsabilités de MasterCard dans tous les pays africains dans lesquels Standard Bank est présent et de tirer profit de l’utilisation de plusieurs produits et services MasterCard, y compris MasterCard Advisors, pour davantage optimiser les plateformes de distribution de Standard Bank, introduire de nouvelles offres et accroître la rentabilité.

Derrière Mme Cairns et M. Schlebusch se tiennent (de gauche à droite) Chris Sweeney, directeur de l’activité Carte de Standard Bank Group ; Philip Panaino, président de division en Afrique du Sud de MasterCard et Michael Miebach, président de MasterCard au Moyen-Orient et en Afrique.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour MasterCard Worldwide.

Contact presse :

Gina de Villiers, mastercard@tribecapr.co.za, +27 11 208 5500

À propos de MasterCard

MasterCard (NYSE : MA), www.mastercard.com, est une société internationale de paiements et de technologie. Elle exploite le réseau de traitement de paiements le plus rapide au monde, reliant les consommateurs, les institutions financières, les commerçants, les gouvernements et les entreprises dans plus de 210 pays. Les produits et solutions de MasterCard facilitent les activités commerciales au quotidien, notamment les achats, les voyages, la gestion d’une entreprise et des finances, et les rendent plus sûres et plus efficaces pour tout le monde. Suivez-nous sur Twitter @MasterCardNews (https://twitter.com/MasterCardNews), joignez-vous à la discussion sur le blog Cashless Conversations

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TUNIS, Tunisie, 28 août 2013/African Press Organization (APO)/ — La Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org/fr/) et le gouvernement djiboutien ont signé des accords de financement d’un montant total de 7,5 millions USD, pour un projet d’exploration géothermique dans la région du lac Assal.

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“L’exploitation du potentiel géothermique de la région du lac Assal permettra à la population djiboutienne d’accéder à une source d’énergie fiable, renouvelable et à bon marché”, a déclaré le directeur de la BAD chargé de l’Intégration régionale, Alex Rugamba, au nom du vice-président chargé de l’Infrastructure, secteur privé et intégration régionale, Gilbert Mbesherubusa.

L’enveloppe financière comporte un prêt et un don du guichet concessionnel du Groupe de la BAD, le Fonds africain de développement, d’un montant respectif de 5,3 et de 0,4 millions USD. Elle comporte également un don de 1,8 million USD du Fonds d’énergie durable pour l’Afrique (SEFA). Les contributions de la BAD et du SEFA permettront de lever d’autres financements. Elles serviront également de catalyseur pour rallier des producteurs indépendants d’électricité géothermique.

S’exprimant lors de la cérémonie de lancement organisée à Tunis, Ali Yacoub Mahamoud, le ministre djiboutien de l’Énergie, chargé des Ressources naturelles, a félicité la Banque africaine de développement pour avoir « redonné vie à un projet vieux de vingt ans ».

L’exploitation du potentiel géothermique de la région du lac Assal à travers ce projet devrait générer dans un premier temps quelque 50 MW d’énergie propre. Actuellement, Djibouti s’alimente en électricité essentiellement à partir de combustibles fossiles et de ses importations hydroélectriques en provenance de l’Éthiopie. La majorité de la capacité de production actuelle du pays se trouve dans la ville de Djibouti. Ces stations électriques sont vieilles et polluantes, avec des coûts d’exploitation exorbitants. En outre, les importations de fioul coûtent cher, obérant les précieuses recettes du pays en devises.

Lors de la première phase du projet, le gouvernement djiboutien initiera des forages exploratoires. Le secteur privé prendra le relais pour mener les forages de production, mettre en place les systèmes de collecte de vapeur, de production électrique et de transport vers le réseau national.

La géothermique connait un développement sans précédent en Afrique de l’Est depuis deux ans. Elle attire de plus en plus d’investisseurs privés grâce à de nouveaux schémas de financement élaborés par les institutions de financement du développement telles que la Banque africaine de développement.

« Ces modèles innovants permettent de surmonter les différents risques associés au développement géothermique, notamment le risque de forage exploratoire, avec la probabilité de tomber sur des puits secs lors de l’exploration du champ géothermique », explique Youssef Arfaoui, spécialiste en chef en énergies renouvelables. « En finançant sur une base concessionnelle la phase d’exploration du projet qui incluent les activités à risque élevé principalement liées au forage, et en endossant ainsi la plupart des risques, la Banque africaine de développement ouvre la voie à l’investissement privé pour les phases rentables du projet. »

Le projet d’exploration dans la région du lac Assal permettra également de renforcer le développement géothermique dans d’autres pays de la vallée du Rift oriental en Afrique subsaharienne en renforçant les capacités des opérateurs à l’échelle régionale. Les pays tels que l’Éthiopie, l’Ouganda, la Tanzanie et le Rwanda recèlent, en effet, un potentiel géothermique considérable.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAD).

Contact :Youssef Arfaoui, spécialiste en chef en énergies renouvelables, T. +216 71 10 23 08 / y.arfaoui@afdb.org

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LAGOS, Nigeria 28 août 2013/African Press Organization (APO)/ — L’initiative Power Africa, soutenue par les États-Unis et initiée par le président Barack Obama, d’une valeur de 7 milliards USD, a reçu un énorme coup de pouce avec l’annonce que le financement intégral de 300 millions USD a été complété pour l’acquisition de la centrale électrique d’Ughelli dans l’État du Delta, au Nigeria, par Transcorp Plc, le conglomérat coté en bourse géré par la société Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com) de Tony Elumelu, société d’investissement par actions panafricaine qui est le principal actionnaire de Transcorp.

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Photo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/elumelu_obama.jpg

Le mois dernier, Heirs Holdings s’est engagée à verser 2,5 milliards USD à l’initiative Power Africa, un partenariat à multiples parties prenantes entre le gouvernement des États-Unis et sept pays d’Afrique subsaharienne, dont le Nigeria ; et plus tôt cette année, Transcorp a signé un accord de coopération avec General Electric (GE) pour le développement du secteur de l’électricité au Nigeria.

Transcorp Ughelli Power Limited (TUPL) a annoncé la semaine dernière le versement de 225 millions USD au Bureau of Public Enterprise (BPE) du Nigeria, soit 75 % du solde du cours d’achat totalisant 300 millions USD pour la centrale d’une capacité de 1 000 mégawatts. TUPL a versé un dépôt initial de 75 millions USD (25 %) pour la centrale en février dernier.

TUPL, dont la société américaine Symbion Power est un investisseur privé dans le cadre du projet, projette d’accroître la production d’électricité de 300 MW à plus de 1 070 MW au cours des cinq prochaines années.

United Bank for Africa Plc (UBA) et Africa Finance Corporation (AFC) en tant que co-arrangeurs, et First City Monument Bank Plc (FCMB) et Fidelity Bank en tant que co-financiers ont fourni la facilité de financement de la dette pour l’acquisition de la centrale, qui est l’une des six sociétés de production d’électricité dégroupées dans le cadre de la privatisation de Power Holding Company of Nigeria (PHCN).

À propos de la finalisation de l’acquisition, M. Elumelu, président de Heirs Holdings et de Transcorp, a déclaré : « Il s’agit d’une avancée majeure, qui revêt une importance considérable pour le Nigeria, la région et l’administration Obama, car elle représente un progrès positif dans la réalisation de Power Africa. Nous nous engageons à développer efficacement le secteur de l’électricité au Nigeria pour répondre aux demandes de notre économie en plein essor et améliorer le niveau de vie de tous les Nigérians. »

L’initiative Power Africa menée par le président des États-Unis, Barack Obama, est un partenariat à multiples parties prenantes entre le gouvernement des États-Unis, six (6) autres pays d’Afrique subsaharienne et le secteur privé. L’objectif commun de cette initiative est d’accélérer l’investissement dans le secteur de l’électricité en Afrique au cours des cinq prochaines années.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

Contact:

Moky Makura

Heirs Holdings

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À propos de Heirs Holdings

Heirs Holdings est une société d’investissement par actions panafricaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.

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JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 27 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Au cours d’une table ronde organisée lors de la première réunion du Conseil d’affaires des BRICS à Johannesburg cette semaine, le chef d’entreprise africain Tony O Elumelu, président de Heirs Holdings, (http://www.heirsholdings.com) a appelé les chefs d’entreprise des pays BRICS à laisser de la place aux entreprises africaines qui cherchent à étendre leurs activités en dehors du continent dans les BRICS.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/heirs-holdings.jpg

Photo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/brics-2013.jpg

Face à un auditoire composé de chefs d’entreprise influents venus des BRICS et de 19 autres pays africains, M. Elumelu a parlé de la nécessité d’établir des partenariats mutuellement avantageux entre les pays africains et les BRICS : « Nous assistons à l’émergence d’une nouvelle génération d’entrepreneurs dont les ambitions s’étendent au-delà du continent. Ils devraient investir dans les BRICS de la même manière que les BRICS investissent en Afrique, cette relation doit être à double sens. »

M. Elumelu s’exprimait à l’occasion d’une table ronde sur « Les mesures et initiatives spécifiques pour accroître les liens commerciaux, d’affaires, de fabrication et d’investissement entre les BRICS et l’Afrique ». La discussion, qui était modérée par Donald Kaberuka, président de la Banque africaine de développement, fournissait également des perspectives précieuses d’autres chefs d’entreprise africains de premier plan, y compris Mo Ibrahim, Isabella Dos Santos et Johann Rupert.

M. Kaberuka a souligné le besoin d’améliorer les infrastructures sur le continent, affirmant que les entreprises ne peuvent prospérer que si le problème du déficit des infrastructures est résolu. L’investisseur angolaise, Isabella Dos Santos, a mis l’accent sur le besoin d’investissements dans les infrastructures « immatérielles », soutenant que la technologie du haut débit aurait un effet transformateur similaire à la technologie mobile en Afrique.

Mo Ibrahim a amusé l’auditoire avec son discours, mais derrière les plaisanteries, les messages concernant la mauvaise image de l’Afrique au niveau mondial et l’importance de la gouvernance étaient bien réels et essentiels. Il a parlé de l’indice de gouvernance de sa fondation, l’un des plus complets au monde, mesurant 88 paramètres dont la transparence, la corruption, l’éducation et la santé. Son message final aux investisseurs était : « Ne venez pas en Afrique pour aider et gagner de l’argent parce que le meilleur retour sur investissement est en Afrique. Vous pouvez apprécier de gagner de l’argent en Afrique mais, s’il vous plaît, soyez responsables. »

Le Sud-africain Johann Rupert, président des sociétés Richemont et Remgro, a parlé des facteurs essentiels qu’il considère en tant qu’investisseur, quel que soit l’endroit où ses investissements se situent. Il a énuméré quatre domaines critiques qui sont : l’État de droit, l’indépendance du système judiciaire, la sécurité des biens et la transparence des marchés.

M. Elumelu a résumé le consensus général de la réunion du conseil d’affaires des BRICS lorsqu’il a conclu : « En tant que chefs d’entreprise africains, et en tant qu’Africapitalistes, nous sommes d’accord que nous possédons suffisamment de ressources pour faire avancer les choses en Afrique. Nous devons partager les opportunités sur le continent. Nous sommes assez nombreux pour faire la différence. Nous devons travailler ensemble pour trouver des manières d’accroître les liens d’échanges commerciaux et d’investissements entre les BRICS et l’Afrique. »

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Heirs Holdings est une société d’investissement par actions panafricaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.

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JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 27 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Au cours d’une table ronde organisée lors de la première réunion du Conseil d’affaires des BRICS à Johannesburg cette semaine, le chef d’entreprise africain Tony O Elumelu, président de Heirs Holdings, (http://www.heirsholdings.com) a appelé les chefs d’entreprise des pays BRICS à laisser de la place aux entreprises africaines qui cherchent à étendre leurs activités en dehors du continent dans les BRICS.

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Face à un auditoire composé de chefs d’entreprise influents venus des BRICS et de 19 autres pays africains, M. Elumelu a parlé de la nécessité d’établir des partenariats mutuellement avantageux entre les pays africains et les BRICS : « Nous assistons à l’émergence d’une nouvelle génération d’entrepreneurs dont les ambitions s’étendent au-delà du continent. Ils devraient investir dans les BRICS de la même manière que les BRICS investissent en Afrique, cette relation doit être à double sens. »

M. Elumelu s’exprimait à l’occasion d’une table ronde sur « Les mesures et initiatives spécifiques pour accroître les liens commerciaux, d’affaires, de fabrication et d’investissement entre les BRICS et l’Afrique ». La discussion, qui était modérée par Donald Kaberuka, président de la Banque africaine de développement, fournissait également des perspectives précieuses d’autres chefs d’entreprise africains de premier plan, y compris Mo Ibrahim, Isabella Dos Santos et Johann Rupert.

M. Kaberuka a souligné le besoin d’améliorer les infrastructures sur le continent, affirmant que les entreprises ne peuvent prospérer que si le problème du déficit des infrastructures est résolu. L’investisseur angolaise, Isabella Dos Santos, a mis l’accent sur le besoin d’investissements dans les infrastructures « immatérielles », soutenant que la technologie du haut débit aurait un effet transformateur similaire à la technologie mobile en Afrique.

Mo Ibrahim a amusé l’auditoire avec son discours, mais derrière les plaisanteries, les messages concernant la mauvaise image de l’Afrique au niveau mondial et l’importance de la gouvernance étaient bien réels et essentiels. Il a parlé de l’indice de gouvernance de sa fondation, l’un des plus complets au monde, mesurant 88 paramètres dont la transparence, la corruption, l’éducation et la santé. Son message final aux investisseurs était : « Ne venez pas en Afrique pour aider et gagner de l’argent parce que le meilleur retour sur investissement est en Afrique. Vous pouvez apprécier de gagner de l’argent en Afrique mais, s’il vous plaît, soyez responsables. »

Le Sud-africain Johann Rupert, président des sociétés Richemont et Remgro, a parlé des facteurs essentiels qu’il considère en tant qu’investisseur, quel que soit l’endroit où ses investissements se situent. Il a énuméré quatre domaines critiques qui sont : l’État de droit, l’indépendance du système judiciaire, la sécurité des biens et la transparence des marchés.

M. Elumelu a résumé le consensus général de la réunion du conseil d’affaires des BRICS lorsqu’il a conclu : « En tant que chefs d’entreprise africains, et en tant qu’Africapitalistes, nous sommes d’accord que nous possédons suffisamment de ressources pour faire avancer les choses en Afrique. Nous devons partager les opportunités sur le continent. Nous sommes assez nombreux pour faire la différence. Nous devons travailler ensemble pour trouver des manières d’accroître les liens d’échanges commerciaux et d’investissements entre les BRICS et l’Afrique. »

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

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Moky Makura

Heirs Holdings

E-mail : moky.makura@heirsholdings.com

Téléphone : +234-1-277-4641

À propos de Heirs Holdings

Heirs Holdings est une société d’investissement par actions panafricaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.

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Athe 22/23 July MPC, a 50% CRR on public sector funds was introduced to address systemic inefficiencies in liquidity management. This measure also aimed to reduce the banks’ ability to tap cheap government deposits in order to purchase higher yielding T-bills and OMOs.

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LE CAP, Afrique du Sud, 22 août 2013/African Press Organization (APO)/ —

• La société spécialisée dans les services express estime que 60 % de la croissance du secteur du matériel informatique en 2013 viendra des tablettes et smartphones

• « Les sociétés de technologie qui s’installeront en Afrique réduiront considérablement leurs dépenses en logistique » – Charles Brewer

Le Cap, le 22 août 2013 : La concurrence au sein du secteur des technologies ne cesse de s’accentuer et l’importance de l’Asie à la fois en tant que lieu de fabrication et marché de consommation est en constante augmentation. Toutefois, même si l’Asie demeure essentielle au secteur, l’adoption des technologies a connu récemment une explosion en Afrique, qui s’apprête à devenir une région majeure.

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Ce sont les propos de Charles Brewer, directeur général de DHL Express en Afrique subsaharienne (http://www.dhl.com), qui déclare qu’une récente conférence sur la technologie mondiale de DHL a révélé cette tendance d’évolution des dynamiques du marché des technologies.

Il a affirmé qu’en raison de la concurrence accrue au sein du secteur, les fournisseurs doivent s’adapter et améliorer les produits et services pour conserver et augmenter leurs parts de marché. « C’est une opportunité permettant aux fournisseurs d’être innovants et de fournir aux clients leurs meilleures produits, services et prix.

Ces deux tendances promettent également de renforcer le rôle de la logistique en tant qu’avantage concurrentiel au sein de l’industrie des technologies, notamment alors que les sociétés mondiales recherchent des partenaires solides et bien établis pour soutenir et simplifier l’accès au marché africain. »

M. Brewer explique qu’en Afrique, malgré l’augmentation considérable de la demande de produits électroniques grand public, le continent doit attirer les investissements de sociétés de technologie internationales, afin de devenir plus qu’un simple utilisateur final de produits technologiques.

Il observe que plus que toute autre industrie, le secteur des technologies est stimulé par une innovation permanente, des cycles de vie des produits courts et de nouveaux canaux de vente. « Du point de vue de la logistique, cela représente un énorme défi, mais également une opportunité pour les marques avant-gardistes. »

M. Brewer déclare qu’en démarrant une entreprise en Afrique, ces marques peuvent servir ce marché en expansion et réduire considérablement leurs frais de logistique car elles sont basées à proximité de leurs clients.

Selon un récent rapport de Deloitte intitulé « The Rise and Rise of the African Middle Class » (L’augmentation constante de la classe moyenne en Afrique), le continent comprend un nombre disproportionné de jeunes, 62 % de la population africaine ayant moins de 25 ans. « Ceci est positif d’un point de vue externe pour les investissements, car cela signifie véritablement qu’il existe une clientèle garantie pendant les années à venir par rapport à un territoire comme l’Europe, qui connaît un déclin démographique. »

Le rapport Deloitte prévoit également que si la classe moyenne africaine poursuit sa trajectoire de croissance actuelle, elle atteindra 1,1 milliard de personnes (soit 42 % de la population totale du continent) d’ici 2060.

La tendance consistant à remplacer les PC par des appareils mobiles comme outil d’accès à Internet a également été soulignée lors de la conférence. Florence Noblot, directrice du secteur des technologies de DHL pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique, estime que 60 % de l’ensemble de la croissance du secteur du matériel informatique viendront des tablettes et smartphones cette année. « Ces deux appareils alimenteront une tendance vers des cycles d’innovation élevés, qui nécessitent que les fournisseurs de logistique améliorent leur délai de commercialisation tout en soutenant un positionnement tarifaire concurrentiel.

« Cette tendance est également claire en Afrique, et selon la GSMA, l’Afrique constitue maintenant le second plus important marché mobile au monde en termes de liaisons après l’Asie et le marché mobile à la croissance la plus rapide au monde. »

Elle affirme qu’il existe une tendance générale vers des produits simplifiés et plus légers qui, associée à la pression tarifaire, représente un défi pour les fabricants, leurs fournisseurs et parfois même leurs concurrents pour développer des solutions collaboratives qui améliorent la rentabilité de la chaîne d’approvisionnement technologique.

« Avec la croissance économique attendue, les fournisseurs de technologies bénéficient de l’opportunité idéale de pénétrer le marché africain, mais ils devraient avoir des partenaires expérimentés qui sont capables de fournir leur perspective et leur expérience d’affaires sur le continent », conclut Mme Noblot.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour Deutsche Post DHL.

Contact pour les médias :

Lee Nelson. Responsable senior du marketing et des communications, Afrique subsaharienne

Tél. : +27 21 409 3600 Mobile : +27 72 361 0178

lee.nelson@dhl.com

DHL – La société de logistique du monde (The Logistics company for the world)

DHL est le leader mondial du marché de la logistique et « la société de logistique du monde (The Logistics company for the world) ». DHL met son expertise dans le domaine des services express internationaux, du fret aérien et maritime, du transport routier ou ferroviaire, de la logistique contractuelle et du courrier international, au service de ses clients. Un réseau mondial composé de plus de 220 pays et territoires, et d’environ 285 000 salariés dans le monde entier, offre à ses clients un service de qualité de haut niveau et une connaissance du terrain, permettant de satisfaire aux exigences dictées par leurs chaînes d’approvisionnement. DHL assume sa responsabilité sociale en soutenant la lutte contre le changement climatique, la gestion des catastrophes naturelles et l’éducation.

DHL fait partie de Deutsche Post DHL. Le groupe a enregistré des recettes d’un montant supérieur à 55 milliards d’euros en 2012.

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PRETORIA, Afrique du Sud, 20 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Pour diffuser cette nouvelle sur Tweeter, copiez et collez #MasterCard et #SASSA célèbrent l’émission de 10 millions de cartes de paiement pour les prestations sociales http://bit.ly/16XQukE

MasterCard, (http://www.mastercard.com) et l’Agence sud-africaine de la sécurité sociale (SASSA),( http://www.sassa.gov.za/) ont annoncé que 10 millions de cartes actives SASSA Debit MasterCard sont actuellement en circulation en Afrique du Sud, suite à l’introduction d’un nouveau système biométrique de versement des prestations sociales qui a débuté en mars 2012.

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Cette étape marque l’achèvement de la phase de réinscription du projet, les bénéficiaires des prestations sociales ayant reçu leur nouvelle carte Debit MasterCard avec fonction biométrique, émise par Grindrod Bank (http://www.grindrodbank.co.za) en collaboration avec la SASSA et Net1 UEPS Technologies (Net1) (http://www.net1.com/).

Depuis mars 2012, un peu moins de 22 millions de bénéficiaires de prestations sociales (1) se sont réinscrits dans le nouveau système introduit par la SASSA qui vise à réduire les demandes de versement frauduleuses de prestations, ainsi qu’à diminuer les frais administratifs des prestations, en versant l’ensemble des prestations par voie électronique.

Une fonction biométrique essentielle de la carte SASSA est sa capacité à identifier avec certitude les bénéficiaires de prestations sociales à l’aide d’identifiants uniques tels que les empreintes digitales, la voix et d’autres informations personnelles, ce qui signifie que les cartes SASSA assurent que seul le bénéficiaire autorisé peut utiliser sa carte pour recueillir ses prestations.

« Une mission cruciale de ce nouveau système consistait à appliquer des mesures strictes pour que la SASSA s’assure que seuls les bénéficiaires admissibles des prestations, c’est-à-dire les personnes réellement dans le besoin, soient autorisées à recevoir l’une des sept prestations versées par la SASSA. Entre avril 2012 et juin 2013, plus de 150 000 prestations ont été annulées, ce qui a permis d’économiser 150 millions de rands (soit environ 15,1 millions de dollars US) par an », a expliqué Virginia Petersen, PDG de la SASSA.

Simplement en passant d’un versement des prestations en espèces, une méthode coûteuse, lourde et difficile en raison des inefficacités, aux paiements électroniques, le nouveau système a déjà permis à la SASSA d’économiser une somme considérable sur les frais administratifs des prestations. Avant mars 2012, la SASSA déboursait en moyenne 33 rands (3,33 dollars US) par prestation pour payer les bénéficiaires. Avec le nouveau système, les débours ont été plafonnés à 16,44 rands (1,66 dollars US) par paiement.

Pour marquer l’évènement, Ann Cairns, (http://bit.ly/RJQ4c4) présidente des marchés internationaux chez MasterCard, a remis à la SASSA un prix commémoratif pour récompenser le programme de versement des prestations sociales leader mondial de la SASSA à l’occasion de sa visite en Afrique du Sud pour célébrer cette réussite importante.

« En soutenant le gouvernement sud-africain dans la mise en œuvre d’un programme de paiement électronique rentable, nous l’aidons à économiser de l’argent, à accroître son efficacité et à prévenir la fraude », a déclaré Mme Cairns. « Plus important encore, nous permettons l’inclusion financière de millions de Sud-africains qui n’avaient auparavant pas accès aux services financiers traditionnels. »

Entre mars et juillet 2012, la carte SASSA Debit MasterCard a été citée comme l’un des facteurs majeurs contribuant à la croissance de 4 % du taux de bancarisation du pays, qui est passé de 63 % en 2011 à 67 % en 2012, selon l’enquête FinScope 2012 en Afrique du Sud (http://bit.ly/14RKiG9). En juillet 2012, 2,5 millions de cartes SASSA MasterCard (http://bit.ly/P9F5S9) avaient été émises à des bénéficiaires de prestations. Depuis, 7,5 millions de cartes supplémentaires ont été émises au profit de bénéficiaires de prestations, ce qui accroît encore le taux d’inclusion financière en Afrique du Sud.

« Des millions de Sud-africains n’ont pas accès aux outils financiers les plus fondamentaux. Ils ne disposent pas de lieux sûrs pour économiser leur argent, ni de moyens fiables de le transférer et de l’utiliser pour effectuer des transactions. Avec l’introduction de la carte SASSA Debit MasterCard, près d’un cinquième de la population d’Afrique du Sud (http://www.statssa.gov.za/Publications/P03014/P030142011.pdf) bénéficie maintenant d’un produit bancaire officiel, qui les aide à bâtir un avenir meilleur pour eux-mêmes, leur famille et leur communauté », a ajouté Mme Cairns.

Dans le cadre du processus de réinscription de la SASSA, un compte bancaire est ouvert pour chaque bénéficiaire, offert sans aucun frais mensuel par Grindrod Bank. Les bénéficiaires peuvent déposer des fonds sur leur compte bancaire au moyen d’un transfert électronique de fonds (TEF) ou d’un transfert bancaire tiers.

La carte SASSA Debit MasterCard peut être utilisée partout où les cartes MasterCard sont acceptées, et les bénéficiaires de prestations peuvent effectuer des achats, vérifier le solde de leur compte et retirer des espèces à partir de caisses sans encourir de frais de transaction dans des points de vente sélectionnés en Afrique du Sud. Les bénéficiaires peuvent aussi retirer des espèces à partir de n’importe quel guichet automatique, ce qui entraîne toutefois des frais de transaction.

« La distribution de dix millions de cartes à des bénéficiaires de prestations en seulement 17 mois est une réussite exceptionnelle. Cependant, ce qui est encore plus remarquable est l’impact qu’a eu, et que continuera d’avoir, la carte SASSA Debit MasterCard sur la vie des bénéficiaires de prestations, ainsi que sur l’économie nationale en général », a affirmé Mme Cairns

« Notre objectif consiste à continuer d’introduire des solutions de paiement innovantes qui aident à rendre les transactions plus rapides, plus sûres et plus pratiques pour tout le monde, à l’endroit et au moment où elles sont nécessaires, et de concrétiser la vision de MasterCard de créer un monde où les espèces ne sont pas l’unique moyen de paiement », a-t-elle conclu.

(1) Plusieurs bénéficiaires de prestations peuvent être enregistrés sur une seule carte SASSA Debit MasterCard.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour MasterCard Worldwide.

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Mme Lumka Oliphant

+27 (0)83 484 8067

LumkaO@dsd.gov.za

Pour les demandes des médias à l’intention de MasterCard :

Birgit Fawkes, Tribeca Public Relations

+27 (0)82 349 4894

Birgitf@tribecapr.co.za

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